Durant les dernières fêtes, le prix du caviar sauvage a atteint un prix vertigineux. Le Beluga, la variété la plus réputée, culmine à 1650€ le kilo ! L’épuisement des stocks d’esturgeons sauvages et divers problèmes de pollution maritime ont provoqué une raréfaction des œufs. De ce fait, tous les pays exportateurs qui bordent la mer Caspienne (Iran, Azebaïdjan, Kazakhstan et Russie) sont en rupture de stock !
Les pays consommateurs de ces grains de folie avaient anticipé cette raréfaction et s’étaient lancé dans l’élevage des esturgeons. Depuis les années 1920, la maison Prunier produisit déjà son propre caviar dans les eaux de la Gironde, de la Garonne et de la Dordogne. Il semblerait que la qualité du caviar d’élevage se rapproche de plus en plus du sauvage.
Avant, on connaissait les trois seules appellations de caviar sauvage : beluga, osciètre et sevruga. Mais elles ne s’adaptent pas à l’élevage. Trois autres espèces pour l’élevage ont fait leur apparition : le baeri pour la production française, le transmontanus (en Italie) et le naccari (Espagne). L’offre se complique avec l’apparition des hybrides, espèces crées dans le but d’augmenter le rendement des œufs. On trouve ainsi des croisements osciètre-baeri ou osciètre-naccari.
Pour tester les caviars sauvages et d’élevage, il suffit de vous rendre place de la Madeleine à Paris.
Chez Fauchon, au bar à caviars, on peut goûter pour 55€ une trilogie de caviar sauvage avec une coupe de champagne.
Chez Caviar Kaspia, une boîte à trois compartiments contenant un assortiment de trois variétés de caviar d’élevage (impérial baeri, esturgeons blac et royal baccari) vous permet de vous initier au caviar d’élevage. Ils vous font goûter avant.
Chez Pétrossian, la petite boule eggxiting, contenant 12g de caviar d’élevage au prix de 27€ permet une approche raisonnable de ce produit de luxe.
Les pays consommateurs de ces grains de folie avaient anticipé cette raréfaction et s’étaient lancé dans l’élevage des esturgeons. Depuis les années 1920, la maison Prunier produisit déjà son propre caviar dans les eaux de la Gironde, de la Garonne et de la Dordogne. Il semblerait que la qualité du caviar d’élevage se rapproche de plus en plus du sauvage.
Avant, on connaissait les trois seules appellations de caviar sauvage : beluga, osciètre et sevruga. Mais elles ne s’adaptent pas à l’élevage. Trois autres espèces pour l’élevage ont fait leur apparition : le baeri pour la production française, le transmontanus (en Italie) et le naccari (Espagne). L’offre se complique avec l’apparition des hybrides, espèces crées dans le but d’augmenter le rendement des œufs. On trouve ainsi des croisements osciètre-baeri ou osciètre-naccari.
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Pour une information complète au sujet du caviar sauvage, il existe une société: www.caviar-concept.fr ,
RépondreSupprimerspécialisée dans la vente de caviars sauvages exclusivement.
contact@caviar-concept.fr.
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