Pendant 13 jours, Lyon vous invite à explorer la
gastronomie chinoise à la Commune,
au Nouvel Institut Franco-Chinois, à l'Institut Paul Bocuse et dans de nombreux
restaurants lyonnais. Parmi les temps forts, vous pouvez visiter ce samedi 29
septembre 2018 le grand marché chinois avec des stands de dégustations et des
animations pour les enfants au Nouvel Institut Franco-Chinois, assister au
concours de cuisine à l’Institut Paul Bocuse autour du thème « Le Thé dans
ma cuisine », diner plus de 30 restaurants de la ville dans des saveurs
fusions franco-chinoises. Le programme détaillé se
trouve ici.
samedi 29 septembre 2018
mercredi 26 septembre 2018
Brut(es) : salon vins nature et marché paysan, Mulhouse
Brut(es) est le premier salon de vins nature à
Mulhouse lancé par quatre bons vivants passionnés de vins nature. Il est ouvert
aux particuliers et professionnels amateurs de produits naturels ou curieux de
découvrir le vin nature. Les 3 et 4 novembre 2018, ils ont réussi à réunir 40
producteurs de vins, de bières venus de France mais aussi d’Allemagne, de
Suisse et d’Autriche. Le point d’orgue de la manifestation est le banquet du
samedi soir avec participation des vignerons et de leurs vins autour de
la "table sans fin...". Marché et petite restauration avec les
paysans/coopérateurs de Rhénamap, ateliers de dégustations, dédicaces seront au
programme. Pour plus de détails, cliquez-ici.
Vinalia : fête du vin et de la cuisine antiques à Saint Romain en Gal
Le temps d’un weekend au musée de Saint-Romain-en-Gal,
remontez le temps et immergez-vous dans une fête antique romaine, les Vinalia
rustica, qui marquent le début de la récolte des raisins et s’ouvrent par la
consécration de la première grappe vendangée à Jupiter !
Toute la journée
du dimanche 30 septembre 2018, une centaine de reconstituteurs, de viticulteurs,
d’archéologues et d’artisans de la cuisine se sont associés pour faire renaître
les activités et les gestes du passé : vendanges en costume d’époque,
foulage des raisins par les pieds, secret de fabrication du vin,
reconstitution
historique d’un banquet impérial romain avec au menu
Patina, flan de légumes et sa sauce aux herbes fraîches
Rôti de porc sauce Punum
aux pruneaux et vin doux
Lucunculum, dessert aux fruits secs, miel et épices
Pain d’épeautre à la feuille de laurier
Et une boisson au choix :
Myrtites (Vin rouge aromatisé aux baies de myrtes)
Absintites
(Vin blanc aromatisé aux feuilles
d’absinthe)
Valetudo
Potio (Jus de fruits à la cannelle).
Avant ou après le banquet (16€ pour les adultes, 10€ pour les enfants), participez aux différentes activités autour
du vin et de la cuisine comme la fabrication d’un vrai pain romain, la
confection d’un defrutum (sirop de raisin) et de mets romains, la présentation
du garum (nuoc man version romaine), la visite d’une taverne romaine reconstituée….
Tout le programme détaille se
trouve ici.
Source des photos : Musée Gallo-Romain Saint Roman en Gall.
mardi 25 septembre 2018
Les potagers à l’honneur dans les Jardins Ouverts d’Île de France
Nous sommes invités à (re)découvrir la richesse des
jardins d’Île de France autour du thème du potager le weekend du 29 et 30
septembre 2018. Parmi les jardins prestigieux, il y a le musée-jardin départemental Bourdelle (Égreville, 77) le Potager
du Roi à Versailles (78), le château
de Saint-Jean de Beauregard aux jardins de
Courances (91), le potager-fruitier du Château de La Roche-Guyon (95). Il y a
aussi des jardins plus modestes comme les jardins partagés, les jardins
ouvriers… parmi les 165 ouverts à la visite. Une programmation culturelle,
artistique et patrimoniale est proposée sur ces différents lieux entre danse, musique, théâtre,
littérature, gastronomie, histoire de l’art, écologie... Ce sera l’occasion d’apprécier
les productions régionales comestibles entre le cresson de Méréville, la menthe
poivrée de Milly-la-Forêt, les champignons de Paris, la pêche de Montreuil….
Le programme détaillé des visites et des animations se trouve
ici.
dimanche 23 septembre 2018
Master class de Nasi Goreng au festival couleurs d’Indonésie Paris
Le Nasi Goreng, qui signifie « riz frit », a été
choisi par le chef
Degan Septoadji venu spécialement de Bali pour inaugurer les ateliers
culinaires au festival
couleurs d’Indonésie à Paris. C’est un privilège d’assister à sa master class
sur cette recette qui représente pour
lui l’un de plats familiaux qui personnifie le mieux l’Indonésie. Il met en avant le sens économique et
anti-gaspillage de la préparation. Le Nasi goreng est toujours cuisiné avec le
riz qui reste de la veille. C’est ensuite une recette simple et savoureuse.
Vu
la diversité religieuse, ethnique et les îles de l’archipel, il nous prévient
de suite qu’il y a autant de recettes de nasi goreng que de familles ! Mais
un point commun relie toutes les manières de faire : la pâte d’épice qui
donne toute les saveurs à la préparation. C’est cette pâte d’épic e qui donne
tout son âme à la cuisine indonésienne. Sa base est toujours de l’ail et de l’échalote
avec un agent liant gras végétal puis des ingrédients aromatiques. Pour
confectionner la pâte, le mixeur est à proscrire. Il faut écraser à la main tous
les ingrédients directement au mortier en pâte, puis frit à l’huile pour en
exalter tous les arômes.
Pour sa pâte de bumbu merah, il a réduit en pâte l’échalote, l’ail, le piment rouge, noix de macadamia, la tomate, la pâte de crevette, le sucre de coco. La préparation est ensuite frite à l’huile. Une fois tous les ingrédients prêts, la confection de du nasi goreng est très rapide. L’ail est revenu dans l’huile très chaude, avec des dés de poulet, de crevettes, d’oignon et de céleri branche jusqu’à cuisson. On y ajoute ensuite des œufs, de la sauce de soja, de la sauce d’huître et de la pâte de bumbu merah pour parfumer l’ensemble. On y verse ensuite du riz et on fait sauter l’ensemble pour que chaque parcelle d’ingrédient soit bien recouvert de sauce et d’épices. Une fois cuit et bien chaud, on rectifie l’assaisonnement en sel et poivre, et on le sert avec le l’échalote frite ! Même assis au cinquième rang, tous les parfums de la recette sont parvenus jusqu’à nous et nous ouvrent l’appétit. Nous sommes allés compléter notre portion de dégustation auprès des kiosques de cuisine installés dans le jardin.
Les restaurants et traiteurs indonésiens de Paris sont tous présents
pour nous proposer le meilleur de la cuisine indonésienne : brochettes de
poulet, d’agneau sauce satay, canard et poulet mariné aux épices et grillés, bœuf
rendang cuit au lait de coco et épices, kare ayam (poulet au curry indonésien),
mie goreng (nouilles sautées, tofu frit, gâteau de riz sucré, beignets divers….
Tout était tentant et délicieux.
Si vous hésitez entre les recettes, les restaurateurs vous aident à faire votre choix avec sourire et bonne humeur.
Une fois servis, nous pouvons déguster confortablement les plats bien assis sur des tables de jardin. En une bouchée, comme disent les indonésiens que j’ai rencontrés, vous avez le sentiment d’être au pays.
C’est cela tout l’esprit du festival couleurs d’Indonésie, vous donner un avant-goût du pays par une immersion des cinq sens à travers la gastronomie, la musique et les danses traditionnelles, des expositions sur l’art et la culture du pays.
J’ai même pu assister à l’élection de Miss Kebaya en présence de son excellence l’ambassadeur de l’Indonésie.
Si vous avez raté cette belle fête, il faut attendre l’année prochaine !
Pour sa pâte de bumbu merah, il a réduit en pâte l’échalote, l’ail, le piment rouge, noix de macadamia, la tomate, la pâte de crevette, le sucre de coco. La préparation est ensuite frite à l’huile. Une fois tous les ingrédients prêts, la confection de du nasi goreng est très rapide. L’ail est revenu dans l’huile très chaude, avec des dés de poulet, de crevettes, d’oignon et de céleri branche jusqu’à cuisson. On y ajoute ensuite des œufs, de la sauce de soja, de la sauce d’huître et de la pâte de bumbu merah pour parfumer l’ensemble. On y verse ensuite du riz et on fait sauter l’ensemble pour que chaque parcelle d’ingrédient soit bien recouvert de sauce et d’épices. Une fois cuit et bien chaud, on rectifie l’assaisonnement en sel et poivre, et on le sert avec le l’échalote frite ! Même assis au cinquième rang, tous les parfums de la recette sont parvenus jusqu’à nous et nous ouvrent l’appétit. Nous sommes allés compléter notre portion de dégustation auprès des kiosques de cuisine installés dans le jardin.
Si vous hésitez entre les recettes, les restaurateurs vous aident à faire votre choix avec sourire et bonne humeur.
Une fois servis, nous pouvons déguster confortablement les plats bien assis sur des tables de jardin. En une bouchée, comme disent les indonésiens que j’ai rencontrés, vous avez le sentiment d’être au pays.
C’est cela tout l’esprit du festival couleurs d’Indonésie, vous donner un avant-goût du pays par une immersion des cinq sens à travers la gastronomie, la musique et les danses traditionnelles, des expositions sur l’art et la culture du pays.
J’ai même pu assister à l’élection de Miss Kebaya en présence de son excellence l’ambassadeur de l’Indonésie.
Si vous avez raté cette belle fête, il faut attendre l’année prochaine !