Pour sensibiliser les clients aux problèmes de l’eau et aider au développement des projets dans le sud, le restaurant Banner’s au nord de Londres a décidé de facturer son verre d’eau à 15 pences (environ 20 centimes d’euros). Une révolution lorsque l’on sait que le verre d’eau dans les restaurants anglais est une des dernières choses gratuites ! Après un démarrage difficile, l’idée commence à faire son chemin et commencent à séduire de plus en plus de restaurant. La réussite repose sur trois idées fortes : éviter de demander au client un sacrifice trop important, gonfler son addition, éviter que les clients ne rognent sur les pourboires des serveurs, expliquer la démarche aux deux parties. En trois ans, seul un client a refusé de payer son verre d’eau.
Au restaurant Banner’s, le verre d’eau facturé à 15 pences revient au restaurant à 0,02 pences. La différence est versée au fond de Wateraid. En trois ans, le restaurant a pu collecter plus de 10 000 livres (12700 euros), assez pour étancher la soif et l’usage de l’eau de 666 personnes selon l’association. Certes, c’est encore très peu par rapport aux besoins du sud, mais c’est déjà un bon début. Selon Adeline Moe, la responsable de Wateraid, apporter de l’eau dans une communauté, ceci veut dire que les femmes et les enfants n’ont plus besoin de parcourir des kilomètres pour rejoindre les puits d’eau. Les mères sont libres de travailler pour gagner plus d’argent et les enfants peuvent aller à l’école.
Pour cette raison, wateraid persévère dans ce projet et cherche à convaincre le plus grand nombre. Elle essaie de convertir les consciences, de les sensibiliser au défi de l’eau dans le futur et à son non usage.
www.wateraid.org/en_francais/default.asp
Après la solidarité sur l’aide au sida sur les billets d’avion par Unitaid initiée par la France, la facturation du verre d’eau au profit de Wateraid arrivera-t-elle en France ?
Au restaurant Banner’s, le verre d’eau facturé à 15 pences revient au restaurant à 0,02 pences. La différence est versée au fond de Wateraid. En trois ans, le restaurant a pu collecter plus de 10 000 livres (12700 euros), assez pour étancher la soif et l’usage de l’eau de 666 personnes selon l’association. Certes, c’est encore très peu par rapport aux besoins du sud, mais c’est déjà un bon début. Selon Adeline Moe, la responsable de Wateraid, apporter de l’eau dans une communauté, ceci veut dire que les femmes et les enfants n’ont plus besoin de parcourir des kilomètres pour rejoindre les puits d’eau. Les mères sont libres de travailler pour gagner plus d’argent et les enfants peuvent aller à l’école.
Pour cette raison, wateraid persévère dans ce projet et cherche à convaincre le plus grand nombre. Elle essaie de convertir les consciences, de les sensibiliser au défi de l’eau dans le futur et à son non usage.
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