Allez vous bientôt remplacer votre sandwich par le Taiyaki (鯛焼きtraduction simple = dorade cuite) ? En effet, un groupe japonais cherche à introduire ce gâteau traditionnel japonais en forme de poisson sur le marché européen.
Au Japon, le Taiyaki est un en-cas populaire et ancestral. Composé d’une pâte croustillante en forme de dorade, elle est farcie traditionnellement d’anko, une pâte d’haricots rouge. Depuis peu, cette garniture s’est métamorphosée en version salée, avec des légumes sautés, de la viande, du fromage, des saucisses. La gamme sucrée s’est enrichie de farce à base de crème pâtissière enrichie de morceaux de fruits frais, de crème de marron, de chocolats, de noix. Bref, la dorade est une enveloppe magique qui peut recevoir toutes les créations gustatives, de tous les pays, de toutes les cuisines du monde. Au Japon, il est vendu partout. A Tokyo, on le retrouve dans des boutiques très chics comme la très célèbre Mitsukoshi à Ginza ou dans un étale de kermesse dans le parc Ueno.
Ses points forts ? Croustillant, joli, simple à manger d’une seule main, très bon, se mange debout, en marchant. En un mot, taillé pour les urbains nomades à la recherche d’une nouvelle forme de snacking branché.
Le moule est composé des deux faces du poisson de manière à renfermer la farce en rabattant la partie supérieure du poisson sur la partie inférieure. La pâte ressemble à celle de la crêpe, assez épaisse.
Au Japon, lorsqu’on célèbre un événement, on dit « medetai ». « Tai » la dorade est considérée comme un poisson porte bonheur. Elle est présente à chaque fête, à chaque matsuri (festival) et lors des cérémonies importantes. Quand il y a un événement heureux dans son entourage, il est de bonne règle d’apporter un Taiyaki en cadeau.
En ce jour de kodomono-hi こどもの日, en plus des carpes qui flottent au vent, déguster un Taiyaki augmentera sûrement les chances au bonheur !
Au Japon, le Taiyaki est un en-cas populaire et ancestral. Composé d’une pâte croustillante en forme de dorade, elle est farcie traditionnellement d’anko, une pâte d’haricots rouge. Depuis peu, cette garniture s’est métamorphosée en version salée, avec des légumes sautés, de la viande, du fromage, des saucisses. La gamme sucrée s’est enrichie de farce à base de crème pâtissière enrichie de morceaux de fruits frais, de crème de marron, de chocolats, de noix. Bref, la dorade est une enveloppe magique qui peut recevoir toutes les créations gustatives, de tous les pays, de toutes les cuisines du monde. Au Japon, il est vendu partout. A Tokyo, on le retrouve dans des boutiques très chics comme la très célèbre Mitsukoshi à Ginza ou dans un étale de kermesse dans le parc Ueno.
Ses points forts ? Croustillant, joli, simple à manger d’une seule main, très bon, se mange debout, en marchant. En un mot, taillé pour les urbains nomades à la recherche d’une nouvelle forme de snacking branché.
Le moule est composé des deux faces du poisson de manière à renfermer la farce en rabattant la partie supérieure du poisson sur la partie inférieure. La pâte ressemble à celle de la crêpe, assez épaisse.
Au Japon, lorsqu’on célèbre un événement, on dit « medetai ». « Tai » la dorade est considérée comme un poisson porte bonheur. Elle est présente à chaque fête, à chaque matsuri (festival) et lors des cérémonies importantes. Quand il y a un événement heureux dans son entourage, il est de bonne règle d’apporter un Taiyaki en cadeau.
En ce jour de kodomono-hi こどもの日, en plus des carpes qui flottent au vent, déguster un Taiyaki augmentera sûrement les chances au bonheur !
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