Voici un délicieux essai de gastronomie littéraire comme je l’apprécie, mariant les plaisirs du texte et ceux de la bouche. "Garçon, un cent d'huîtres ! Balzac et la table", d'Anka Muhlstein, aux éditions Odile Jacob, nous invite à la table de la France du XIXème siècle, à travers l’œuvre de Balzac. L’auteur de « La Comédie humaine » a fait entrer la table en littérature bien avant Flaubert, Zola ou Maupassant. Ses romans, qui nous invitent aux restaurants à la mode ou aux estaminets de l’époque, aux festins mondains et aux mesquineries de la petite bourgeoisie coïncident avec la naissance des restaurants en France. Avant la Révolution, on mangeait et recevait chez soi, les auberges étaient réservées aux voyageurs. A la fin des années 1820, Paris compte déjà trois mille établissements.
Pourquoi le titre de « Garçon, un cent huître ! ». Balzac durant son travail d’écriture se nourrissait de manière frugal et carburait au café, beaucoup de café. Mais si tôt le manuscrit remis à l’éditeur, il reprenait sa vie de Pantagruel en commençant par plus de 100 huîtres arrosées d’au moins de 4 bouteilles de vin blanc !
Le livre est en 6 séquences : Balzac à table / Paris à Table / Les grandes occasions / En famille/ Avares et Gourmands / Une pêche diaprée, un souffle, une pièce montée.
A lire rapidement une serviette autour au coup !
Pourquoi le titre de « Garçon, un cent huître ! ». Balzac durant son travail d’écriture se nourrissait de manière frugal et carburait au café, beaucoup de café. Mais si tôt le manuscrit remis à l’éditeur, il reprenait sa vie de Pantagruel en commençant par plus de 100 huîtres arrosées d’au moins de 4 bouteilles de vin blanc !
Le livre est en 6 séquences : Balzac à table / Paris à Table / Les grandes occasions / En famille/ Avares et Gourmands / Une pêche diaprée, un souffle, une pièce montée.
A lire rapidement une serviette autour au coup !
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