Quel heureux hasard et quel bonheur ! C’est durant cette année de commémoration des 400 ans d’assassinat du bon roi Henri IV qu’il a retrouvé sa tête, toute sa tête ! Il est en projet d’une cérémonie grandiose, en la cathédrale de Saint Denis l’année prochaine pour que son corps retrouvé repose enfin en paix ! Même si cette année de commémoration arrive à son terme, vous aurez toujours la possibilité de mieux le connaître en vous rendant au château de Fontainebleau où une exposition lui est consacrée jusqu’au 28 février 2011.
Lui qui avait souhaité que tout paysan dispose d’une « poule au pot » le dimanche, pourquoi ne pas lui rendre hommage en servant ce plat emblématique sur votre table de noël, avec une touche chic et plus de modernité ! Pour cela, par rapport à la recette que je vous ai proposée en mars 2010, complétez les carottes par des patates douces, de potirons, les navets de quelques topinambours, puis glissez quelques lamelles de truffes entre la peau et la chair de la poule avant qu’elle ne mijote !
Toujours en son souvenir, arrosons les fêtes avec le Jurançon, ce nectar qu’il affectionnait tant. A sa naissance en 1553, son grand père Henri II lui aurait frotté d’une gousse d’ail ses lèvres de nouveaux né et lui aurait fait boire quelques gouttes de Jurançon, lui insufflant une vigueur et une fougue qui ne devaient plus le quitter ! Devenu adulte, Henri IV imposait le Jurançon comme vin de cérémonie de la cour, ainsi que le baptême de tous les princes de France avec une gousse d’ail et une goutte de Jurançon !
Lui qui avait souhaité que tout paysan dispose d’une « poule au pot » le dimanche, pourquoi ne pas lui rendre hommage en servant ce plat emblématique sur votre table de noël, avec une touche chic et plus de modernité ! Pour cela, par rapport à la recette que je vous ai proposée en mars 2010, complétez les carottes par des patates douces, de potirons, les navets de quelques topinambours, puis glissez quelques lamelles de truffes entre la peau et la chair de la poule avant qu’elle ne mijote !
Toujours en son souvenir, arrosons les fêtes avec le Jurançon, ce nectar qu’il affectionnait tant. A sa naissance en 1553, son grand père Henri II lui aurait frotté d’une gousse d’ail ses lèvres de nouveaux né et lui aurait fait boire quelques gouttes de Jurançon, lui insufflant une vigueur et une fougue qui ne devaient plus le quitter ! Devenu adulte, Henri IV imposait le Jurançon comme vin de cérémonie de la cour, ainsi que le baptême de tous les princes de France avec une gousse d’ail et une goutte de Jurançon !
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