Les personnages de femme chef en cuisine se comptent encore sur les doigts d’une main.
Dans « Le Festin de Babette », Stéphane Audran joue le rôle de Babette, chef de cuisine renommé du café Anglais, grand restaurant parisien. Fuyant la répression de la commune de Paris en 1871, elle trouve refuge au service de deux vieilles dames dans un petit village de Danemark. Lorsque le hasard lui sourit, elle prit la décision d’investir son ticket de loto gagnant en offrant un banquet exceptionnel à ses patrons et amis. Ici, la cuisine joue le rôle de révélateur des sens, montrant le plaisir possible à une communauté qui considère que la nourriture est un péché !
Dans « Le goût de la vie », Catherine Zeta Jones campe le rôle d’une chef de cuisine dans un restaurant d’élite à Manhattan. Elle investit tout dans sa vie professionnelle et paraît moins douée à mener sa vie privée, faisant même aider par un analyste ! Comme si le parcours d’une chef doit passer par le sacrifice d’une vie privée ! Heureusement que le chef italien, grand amateur d’opéra, son second, lui apprend qu’elle peut être heureuse en cuisine, et avec lui !
« Amours salées et plaisirs sucrées » nous offre le portrait d’une femme chef, Sofia joué par Olivia Molina, passionnée, gourmande de cuisine et de vie et qui s’assume ! Née prématurément en juin 1968 dans le lavabo d'un coiffeur le jour de l'assassinat de Robert Kennedy, elle est élevée au milieu des tables et des fourneaux du petit restaurant de ses parents. Avec une telle enfance, Sofia n’a qu’un rêve, devenir un grand chef 5 étoiles (nous sommes en Espagne). Mais voilà, elle tombe amoureuse de deux hommes : Toni, l'indéfectible amoureux, le mari idéal qui veut l’assigner à résidence pour s’occuper des enfants, Franck, un pygmalion égoïste qui croit en ses talents et qui la pousse à se réaliser professionnellement. Que fait-elle ?
Sofia trouvera son équilibre en réconciliant ses deux hommes autour d'elle, dans un ménage à trois dont elle est la grande ordonnatrice. Mais Toni et Frank sont-ils prêts à jouer le jeu ? Comme tout film sur la cuisine, la référence à la gastronomie française n’est pas oubliée, ainsi que des scènes à vous donner faim !
Derrière cette comédie, le film s’interroge sur l’importance de l’équilibre amoureux dans le processus de création des chefs, sur les choix dans la vie, sur une peinture très contemporaine de la société espagnole avec la règle des possibles, de l’émergence de grands chefs et de grandes tables espagnoles.
Voir l’extrait de film
Dans « Le Festin de Babette », Stéphane Audran joue le rôle de Babette, chef de cuisine renommé du café Anglais, grand restaurant parisien. Fuyant la répression de la commune de Paris en 1871, elle trouve refuge au service de deux vieilles dames dans un petit village de Danemark. Lorsque le hasard lui sourit, elle prit la décision d’investir son ticket de loto gagnant en offrant un banquet exceptionnel à ses patrons et amis. Ici, la cuisine joue le rôle de révélateur des sens, montrant le plaisir possible à une communauté qui considère que la nourriture est un péché !
Dans « Le goût de la vie », Catherine Zeta Jones campe le rôle d’une chef de cuisine dans un restaurant d’élite à Manhattan. Elle investit tout dans sa vie professionnelle et paraît moins douée à mener sa vie privée, faisant même aider par un analyste ! Comme si le parcours d’une chef doit passer par le sacrifice d’une vie privée ! Heureusement que le chef italien, grand amateur d’opéra, son second, lui apprend qu’elle peut être heureuse en cuisine, et avec lui !
« Amours salées et plaisirs sucrées » nous offre le portrait d’une femme chef, Sofia joué par Olivia Molina, passionnée, gourmande de cuisine et de vie et qui s’assume ! Née prématurément en juin 1968 dans le lavabo d'un coiffeur le jour de l'assassinat de Robert Kennedy, elle est élevée au milieu des tables et des fourneaux du petit restaurant de ses parents. Avec une telle enfance, Sofia n’a qu’un rêve, devenir un grand chef 5 étoiles (nous sommes en Espagne). Mais voilà, elle tombe amoureuse de deux hommes : Toni, l'indéfectible amoureux, le mari idéal qui veut l’assigner à résidence pour s’occuper des enfants, Franck, un pygmalion égoïste qui croit en ses talents et qui la pousse à se réaliser professionnellement. Que fait-elle ?
Sofia trouvera son équilibre en réconciliant ses deux hommes autour d'elle, dans un ménage à trois dont elle est la grande ordonnatrice. Mais Toni et Frank sont-ils prêts à jouer le jeu ? Comme tout film sur la cuisine, la référence à la gastronomie française n’est pas oubliée, ainsi que des scènes à vous donner faim !
Derrière cette comédie, le film s’interroge sur l’importance de l’équilibre amoureux dans le processus de création des chefs, sur les choix dans la vie, sur une peinture très contemporaine de la société espagnole avec la règle des possibles, de l’émergence de grands chefs et de grandes tables espagnoles.
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Si vous intéressez au lien entre cinéma et gastronomie, je vous recommande l’excellent livre de Vincent Chenille « Le plaisir gastronomique au cinéma ».
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