Après l’herbivore, le carnivore et l’omnivore, voici le locavore. L’idée principale est de « manger local ». L’idée est née à San Francisco il y a deux ans, avec tellement d’émules qu’elle est devenue à ce jour un mouvement. Les locavores www.locavores.com ne consomment que des aliments produits dans un périmètre de 100 miles (soit 160 km) autour de leur habitation. En effet, la plupart des aliments que nous consommons parcourent en moyenne 1500 km, ce qui signifie que chaque bouchée que nous consommons, nous contribuons à la pollution et au réchauffement de la planète. Bref, manger bio et équitable ne suffisent plus !
Cette nouvelle approche de l’alimentation implique bien sûre une mini-révolution dans le mode de consommation, de production et de distribution. Aux Etats-Unis, les personnes adaptes de ce mode de consommation redécouvre leur terroir, la saisonnalité des produits et la joie de « cuisiner maison ». Les cours et ateliers de cuisine ne font pas fureur qu’en France. Certains poussent même le concept jusqu’à une auto-suffisance. Ainsi , à Brooklyn, un père de famille a poussé le concept à son extrême. Il a transformé son jardin en mini-ferme pour subvenir à ses besoins pendant un mois dans une surface de 74m2. En Virginie, la famille de Barbara Kingsolver a vécu une année en ne consommant que des produits locaux. Elle a relaté son expérience dans un livre qui est devenu un best seller « Animal, Vegetale, Miracle » et anime un site internet www.kingsolver.com/home/index.asp .
Bref, appliqué en version française, il s’agirait d’un système AMAP http://amap-idf.org/ où les produits consommés sont produits dans un périmètre de 160 km maximum.
Cette nouvelle approche de l’alimentation implique bien sûre une mini-révolution dans le mode de consommation, de production et de distribution. Aux Etats-Unis, les personnes adaptes de ce mode de consommation redécouvre leur terroir, la saisonnalité des produits et la joie de « cuisiner maison ». Les cours et ateliers de cuisine ne font pas fureur qu’en France. Certains poussent même le concept jusqu’à une auto-suffisance. Ainsi , à Brooklyn, un père de famille a poussé le concept à son extrême. Il a transformé son jardin en mini-ferme pour subvenir à ses besoins pendant un mois dans une surface de 74m2. En Virginie, la famille de Barbara Kingsolver a vécu une année en ne consommant que des produits locaux. Elle a relaté son expérience dans un livre qui est devenu un best seller « Animal, Vegetale, Miracle » et anime un site internet www.kingsolver.com/home/index.asp .
Bref, appliqué en version française, il s’agirait d’un système AMAP http://amap-idf.org/ où les produits consommés sont produits dans un périmètre de 160 km maximum.
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