mercredi 1 septembre 2010

Ma cuisine de Madagascar : Recettes, saveurs et culture alimentaire au pays des lémuriens.



"La mer est la limite de ma rizière" (ny ranomasina no valamparihiko) aurait dit le grand roi Andrianampoinimerina qui lança l’unification de l’île à la fin du XVIIIe siècle.

La cuisine malgache d’origine, avec ses propres marqueurs comme le zébu, le riz et les brèdes, s’est enrichie avec son histoire de plusieurs traditions culinaires telles la chinoise, l’indienne, et la française. Dans mon nouvel ouvrage, je vous offre un itinéraire gourmand à travers les saveurs d’une île, qui me rappelle à la fois mon enfance, et des traditions culinaires qui marquent une identité malgache plurielle et ancestrale. A la fois parcours anthropologique et gourmand, mon récit vous expose toute la richesse d’une île dont les spécialités ne manquent pas de piquant ! Des recettes de zébu aux différentes variantes de rougails et d’achards, c’est toute une géographie gustative qui je vous dévoile. Mais aussi, la cuisine malgache au-delà de la nécessité de répondre et de satisfaire la population, est une cuisine qui accompagne les rituels de la vie ; les croyances, les interdits (les fadys), et nous laisse entrevoir une culture complexe et très influencée par les superstitions.

Avec de nombreuses recettes, je vous révèle les mœurs et l’histoire d’un pays aux multiples facettes, où l’on n’est pas étonné de déguster du foie gras, des nymphes frites, de nombreux poissons et où l’on trouve aussi du vin, une très bonne bière et où l’on a renoncé à manger de la tortue de mer puisqu’elle est devenue une espèce protégée.


« Ma cuisine de Madagascar : Recettes, saveurs et culture alimentaire au pays des lémuriens », William Chan Tat Chuen , éditions Jean Paul Rocher.

Le livre est déjà en vente avec la rentrée littéraire 2010 !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Mister positive,
Es-ce aussi un livre en partie autobiographique?
Dominique
Campus LE MANS

Anonyme a dit…

Où peut on se procurer le livre : librairie gourmande ? ou par correspondance. Merci
Cyrille
Le Havre