La promenade sur le port de la Trinité sur mer n’était pas
gagnée d’avance, tellement il avait plu tout l’après-midi. D’après mes amis
bretons, c’est la faute à la marée !
Puis soudainement, en fin de journée,
le ciel était devenu plus clément. Il était temps d’aller chercher le
magnifique plateau de fruits de mer pour le dîner, à la halle à poisson. A sa
vue avec les huîtres de la baie de Quiberon, les crabes, les langoustines, les
crevettes, les bigorneaux, on se léchait déjà les babines !
Ici, les
produits de la mer sont ultra-frais et encore vivants.
Sur les étals, mes amis
me montrent la moussette, une jeune araignée
de mer de saison à la chair très fine, tendre et sucrée. Ici l’odeur de l’iode
est partout, surtout sur le port qui offre une carte postale à la fois traditionnelle
et moderne.
Traditionnelle par sa vue avec les charmants petits bateaux le long des quais,
très moderne et même futuriste sur le pont où sont garés les immenses catamarans des skippers pour la coupe de l’America, la compétition nautique internationale à la voile !
Leur taille est impressionnante.
Tout le long du quai, on vous présente les héros des temps modernes, le portait des skippers et leurs bateaux !
C’est en 1967 que le Baron Bich décida de participer à cette coupe de l’America, réputée impossible à gagner. La première participation française date de 1970 !
Au bout de la jetée, trône le portrait le Loïc Caradec, disparu en mer lors de la course en solitaire sur « la route du rhum ». Ici, entre deux bouchées à table, on sait vous raconter ces belles histoires de marins qui dédient leur vie à la mer : « Homme libre, toujours tu chériras la mer ».
Traditionnelle par sa vue avec les charmants petits bateaux le long des quais,
très moderne et même futuriste sur le pont où sont garés les immenses catamarans des skippers pour la coupe de l’America, la compétition nautique internationale à la voile !
Leur taille est impressionnante.
Tout le long du quai, on vous présente les héros des temps modernes, le portait des skippers et leurs bateaux !
C’est en 1967 que le Baron Bich décida de participer à cette coupe de l’America, réputée impossible à gagner. La première participation française date de 1970 !
Au bout de la jetée, trône le portrait le Loïc Caradec, disparu en mer lors de la course en solitaire sur « la route du rhum ». Ici, entre deux bouchées à table, on sait vous raconter ces belles histoires de marins qui dédient leur vie à la mer : « Homme libre, toujours tu chériras la mer ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire