Gilles Stassart a conçu « Les diététiques », un cycle de 4 performances se tenant chacune dans un espace de vente Monop। Confiés à des artistes contemporains, chacun de ces tableaux s’appuie sur l’un des modes de perception que nous avons de l’alimentation. Perception de l’image par l’artiste Stephen Dean ; du son par les musiciens François Martin et Nicolas Petit ; de l’objet par Gilles Stassart (avec le fameux tailleur style Chanel fait avec des raviolis et visible au Monop des Halles), Garance Stassart et les cuisiniers du Transversal ; du geste physique par la plasticienne Anne Deleporte et Thierry Garnier cuisinier du Transversal, campent le paysage de ce qui forge et détermine au final notre goût.
François Martin & Nicolas Petit : Perception du son.
Croustillement, crépitement, grésillement... le son est une part intrinsèque et indissociable de la préparation culinaire comme de sa dégustation. Sur ce thème, les musiciens François Martin et Nicolas Petit ont imaginé une performance sonore originale. Interprétée par des musiciens percussionnistes, cette longue improvisation musicale sera alimentée par les divers produits présents dans les rayons : chips, gressins, emballages divers et par extension, tout objet permettant de créer un rythme. Au Monop ’ Luxembourg 33 rue de Vaugirard, Paris 6e .Jusqu’à minuit
Croustillement, crépitement, grésillement... le son est une part intrinsèque et indissociable de la préparation culinaire comme de sa dégustation. Sur ce thème, les musiciens François Martin et Nicolas Petit ont imaginé une performance sonore originale. Interprétée par des musiciens percussionnistes, cette longue improvisation musicale sera alimentée par les divers produits présents dans les rayons : chips, gressins, emballages divers et par extension, tout objet permettant de créer un rythme. Au Monop ’ Luxembourg 33 rue de Vaugirard, Paris 6e .Jusqu’à minuit
Stephen Dean : Perception de l’image
Plutôt que de montrer l’aliment lui-même, l’artiste franco-américain a choisi d’en transcrire visuellement les effets, notamment l’énergie que celui-ci apporte au corps humain। Sur la vitrine du Monop’ transformée en écran, Stephen Dean restitue les images produites par un système de captation vidéo thermique. Le dispositif technique mélange captations réalisées en temps réel sur le site du Monop’ et des images réalisées au préalable en rapport avec l’acte alimentaire. Proche de l’univers pictural, le résultat permet à l’imaginaire de chacun de s’y engouffrer librement. Au Monop ’ Sorbonne 35 boulevard Saint-Michel, Paris 5e Jusqu’à 3h
Plutôt que de montrer l’aliment lui-même, l’artiste franco-américain a choisi d’en transcrire visuellement les effets, notamment l’énergie que celui-ci apporte au corps humain। Sur la vitrine du Monop’ transformée en écran, Stephen Dean restitue les images produites par un système de captation vidéo thermique. Le dispositif technique mélange captations réalisées en temps réel sur le site du Monop’ et des images réalisées au préalable en rapport avec l’acte alimentaire. Proche de l’univers pictural, le résultat permet à l’imaginaire de chacun de s’y engouffrer librement. Au Monop ’ Sorbonne 35 boulevard Saint-Michel, Paris 5e Jusqu’à 3h
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