
La sortie du livre de recettes « Lundis sans viande » (Meat Free Monday Cookbook) par Paul, Stella et Mary Mac Cartney va-t-il lancer le mouvement en France ? En Grande Bretagne, grâce à Paul Mac Cartney qui défend cette idée depuis des années, la mayonnaise commence à prendre, grâce aux portes drapeaux d’une brochette de stars du cinéma, de la mode et des médias (pas de français sur la liste officielle). Les arguments sont simples : réduire votre consommation de viande est bon pour votre santé, pour l’environnement, pour votre porte monnaie ! Si chacun d’entre nous s’en passe au moins une fois par semaine, l’impact sur la planète est colossal. Pourquoi le lundi et pas un autre jour de la semaine ? D’après Paul Mac Cartney, le lundi est un jour « psychologiquement » plus facile pour ceux et celles qui débutent, du fait que le dimanche, les personnes ont fait ripaille. Dans ce livre, vous avez 312 recettes, classées en quatre saisons (oui, toujours sur l’impact environnemental), de chefs, de célébrités comme Jamie Oliver, Kevin Spacey, José Pizarro, Tom Aikens, Twiggy, Giorgio Locatelli, Bryn Williams, Yotam Ottolenghi….
Sur le site de www.meatfreemondays.com, vous pouvez participer au concours de la meilleure recette végétarienne et bénéficier gratuitement de recettes végétariennes de chefs, de célébrités et des passionnés des « lundis sans viande » tout simplement !
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La recette est la suivante. Epluchez 500g de citrouilles. Faites la cuire à la vapeur pendant 30 minutes. Laissez refroidir avant de les écraser à la fourchette, puis de les mélanger avec 150g de sucre, 100g d’amandes en poudre, 4 œufs, 60g de beurre fondue, 3 cuillères à soupe de crème fraîche, une pincée de cannelle. Votre appareil de citrouille est prêt.


Œuf à la neige
Coque de cacahuète
Sucette tour Eiffel
Baba au rhum
Bretzel
Marron glacé
Sucette de foie gras
Pour les fans de la cuisine moléculaire, ne ratez en aucun cas le documentaire allemand de Gereon Wetzel « 







Trois jours fériés sont décrétés. Au menu des festins, du thé en version salé (thé additionné de sel et de beurre de yack) ou en version sucrée accompagné du met national, l’ema-datsi. Il s’agit d’un plat à base de piment sauté et de fromage fondu. Il n’y a qu’au Bhoutan où le piment est un légume. Avec de la pomme de terre en plus, l’ema-datsi prend l’appellation de kewa datsi, avec des champignons, shamu datsi. Ces trois recettes pimentées sont servies avec du riz. Le riz peut être remplacé par une crêpe de sarrasin, le khuli. Les momos sont aussi de la fête. Il s’agit d’un pain cuit à la vapeur, farci de piment, d’oignon, de fromage et des légumes de saison.


Quelques grignotages en amuses bouche complètent les mets, ainsi qu’un plateau de fromages.


Quelle relation avec la nourriture ? C’est que la braguette au XVIème siècle, outre sa fonction protectrice et la signification d’une virilité tapageuse, servait aussi véritablement de « poche » (sic !) pour permettre aux jolis damoiseaux de sortir un mouchoir parfumé, un billet doux, ou un fruit ainsi tiédit qu’il offrit galamment à une dame nullement offusquée avant un tournoi, comme le montre la peinture de Vittore Carpaccio « Jeune gentilhomme dans un paysage », 1510 exposé au Museo Thyssen-Bornemisza à Madrid.



Moins connu que Jamie Oliver, 

Une sélection de 130 objets provenant du Palais impérial de Pékin fait revivre les empereurs chinois, pointant les talents artistiques de certains d'entre eux, et les échanges scientifiques et culturels noués avec les jésuites sous Louis XIV.
Des portraits des principaux souverains-bâtisseurs chinois, accompagnés d’objets personnels, armes, vêtements, parures introduisent à la vie de cour en même temps qu’ils dévoilent les grands acteurs des dynasties Ming (1368-1644) et Qing (1644-1911). Ainsi croise-t-on successivement Yongle (r.1403-1424), le fondateur de la Cité interdite, contemporain de Charles VI (r.1380-1422), Jiajing (r.1521-1566) le créateur du Temple du Ciel, contemporain de François Ier (r.1515-1547), ou Wanli (r.1573-1619), célèbre par son mausolée aux Tombeaux des Ming et contemporain d’Henri III (r.1574-1589) et d’Henri IV (r.1589-1610).
L’évocation de la table impériale se fait à travers la vaisselle exposée (assiette, coupe, coffret à nourriture…) mais aussi à travers les magnifiques rouleaux de peintures sur soie, avec force détails. Dans le rouleau qui raconte les expéditions de Kangxi vers le sud (salle Sully, à droite des escalators en montant), vous pourrez admirer l’activité des commerçants dont les métiers de bouche sont dessinés avec réalisme. Par exemple, dans une échoppe, vous verrez le travail du grain du blé et la confection des nouilles. Dans le rouleau « L’audience des ambassadeurs étrangers » où l’empereur Qianlong recevait les diplomates étrangers à la Cité Interdite le jour du Nouvel An, un service de collation leur était est proposé. Vous verrez le buffet où s’affairent des cuisiniers alors que des serveurs se faufilent entre les invités. La délégation française porte des chapeaux bretons ! La table est évoquée aussi dans la galerie Richelieu autour de la personnalité de Qianlong, le plus gourmets des empereurs comme je l’avais décrit dans mon livre « 
