Le salon de l’agriculture de Paris est une vraie
fête populaire. Nous avons tous grand plaisir à retrouver chaque année nos
paysans, nos belles régions françaises et leurs gourmandises.
Chaque année,
c’est le stand 1 des animaux qui est plébiscité par les petits et les grands.
Nous pouvons profiter de la plus grande étable de France pour découvrir les 344
races de bovins, caprins, porcins… qui tous participent au concours agricole
pour décrocher la médaille d’or.
Certains petits parisiens découvrent pour la
première fois les bêtes sur pied, l’odeur du fumier. Ils tentent de les
caresser avec une main craintive, et souhaitent surtout de se prendre en photo
avec les plus belles vaches.
Le stand 1, c’est aussi pour les enfants les leçons des choses : découvrir la production des produits laitiers, les yaourts comme les fromages, les déguster.
Le stand 1, c’est aussi pour les enfants les leçons des choses : découvrir la production des produits laitiers, les yaourts comme les fromages, les déguster.
L’égérie de cette édition est une
vache bretonne pie noire de 6 ans, au joli non de Fine qui trône seule dans un
carré VIP pendant que ses congénères se partagent la paille à plusieurs. Pour
les politiques en campagne, la photo avec Fine est aussi l’arrêt obligatoire.
Tous
les éleveurs prennent soin de leurs bêtes et veillent à ce que leurs pailles ne
soient pas souillées par leurs crottes. Je note de plus en plus de femmes dans
les fonctions agricoles.
J’observe aussi que la relève est là en regardant la
transmission du savoir entre la nouvelle et l’ancienne génération.
D’ailleurs
1500 candidats participent au Trophée National des lycées agricoles qui qui récompense
les meilleurs établissements à l'issue de quatre épreuves par équipes :
réalisation d'un blog, communication avec la création d'une affiche,
manipulation et présentation d'un animal en toute sécurité et implication des
élèves sur le salon.
L’autre stand ovationné est le 3 avec les produits
gourmands des 13 régions de France. Toutes les spécialités régionales sont à
portée de main. Il y a à boire et à manger à profusion. A l’heure du déjeuner,
tous les restaurants sont pleins.
Il suffit de marcher deux mètres pour passer
des Hauts de France à la Provence Côte d’Azur.
On peut assister à des
démonstrations culinaires animées par des chefs, goûter les produits, demander
conseil, participer aux remises des prix des concours, comme celui des
apprentis charcutiers traiteurs…
C’est une belle occasion de voir aussi les
commerçants avec leurs costumes locaux, comme de cette alsacienne et ce breton.
Ce joli visuel dope naturellement les ventes.
La grande tendance, c’est la mise en avant des productions locales au plus proche des consommateurs. Chaque grande région a développé ses circuits courts, privilégiant la mise en contact direct entre les producteurs et les consommateurs.
On découvre aussi que cette agriculture française se digitalise de plus de plus. Les capteurs sont là pour surveiller le temps, l’hygrométrie, l’ensoleillement. Les tâches les plus ingrates sont automatisées avec des robots. Etre agriculture, c’est savoir piloter aussi des engins à technologie de plus en plus sophistiqués. J’ai rencontré des gamins qui rêvent d’être agricultures, rien que pour le plaisir de monter dans une moissonneuse batteuse qui font cinq fois leur taille.
Ce salon de l’agriculture, on peut y passer plus d’une journée.
Chacun trouvera son bonheur.
L’accueil est excellent cette année avec des jeunes ambassadeurs qui vous accueillent dès l’entrée, en vous remettant le plan du salon. Il vous reste quelques jours pour en profiter porte de Versailles à Paris.
La grande tendance, c’est la mise en avant des productions locales au plus proche des consommateurs. Chaque grande région a développé ses circuits courts, privilégiant la mise en contact direct entre les producteurs et les consommateurs.
On découvre aussi que cette agriculture française se digitalise de plus de plus. Les capteurs sont là pour surveiller le temps, l’hygrométrie, l’ensoleillement. Les tâches les plus ingrates sont automatisées avec des robots. Etre agriculture, c’est savoir piloter aussi des engins à technologie de plus en plus sophistiqués. J’ai rencontré des gamins qui rêvent d’être agricultures, rien que pour le plaisir de monter dans une moissonneuse batteuse qui font cinq fois leur taille.
Ce salon de l’agriculture, on peut y passer plus d’une journée.
Chacun trouvera son bonheur.
L’accueil est excellent cette année avec des jeunes ambassadeurs qui vous accueillent dès l’entrée, en vous remettant le plan du salon. Il vous reste quelques jours pour en profiter porte de Versailles à Paris.
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