«A place at the royal table 2018» ou comment découvrir les traditions culinaires des onze cours européennes !

« Une place à la table royale 2018 » est un projet très alléchant de 19 institutions de l’association des Résidences Royales Européennes, qui nous invitent à découvrir les traditions culinaires des onze cours européennes. En effet, la gastronomie et les traditions culinaires dans les cours européennes sont une part essentiel de notre patrimoine européen, matériel comme immatériel. La table au cœur de notre quotidien, rapproche les individus ainsi que les cultures. Selon les pays participants, le projet se décline avec des expositions, des banquets, des dégustations, des ateliers, des journées d’études, visite des cuisines royales. 

La France est représentée à la fois par le château de Versailles, le château de Chambord et le château de Compiègne. A Versailles par exemple, afin d’explorer l’art de la table, l’alimentation et la gastronomie sous l’ancien régime, les châteaux de Versailles et du Trianon organisent un parcours thématique audioguidé en 7 langues dans les grands appartements intitulé « A la table du roi ». Le public pourra aussi rencontrer les jardiniers du Trianon, et découvrir le potager de la Reine. 

Deux journées d’études traitent du fruit roi, l’ananas (le 22 juin 2018) et sur le vins dans les cours d’Europe (28 septembre 2018). Un dîner européen sera organisé avec les chefs étoilés. 

Ce programme qui s’étale sur toute l’année 2018 peut être le fil conducteur d’un voyage dans les cours d’Europe en faisant une escale dans les lieux prestigieux et historiques ci-après :
Schloss Schönbrunn Kultur- und Betriebsges.m.b.H., Autriche

Palais de Charles Quint asbl, Belgique

Kongernes Samling, Danemark

Stiftung Preussische Schlösser und Gärten Berlin-Brandenburg, Allemagne

Gödölloi Királyi Kastély Kht, Hongrie

La Venaria Reale, Italie

Reggia di Caserta, Italie

Palais Princier de Monaco, Monaco

Zamek Królewski w Warszawie - Pomnik Historii i Kultury Narodowej, Pologne

Muzeum Palacu Króla Jana III w Wilanowie, Pologne

Muzeum Lazienki Królewskie, Pologne

Palácio Nacional de Mafra, Portugal

Parques de Sintra – Monte da Lua, Portugal

Le programme détaillé des manifestations de chaque pays se trouve ici.

Exposition « Le Vin et la Musique, accords et désaccords», Cité du vin Bordeaux

Pour sa deuxième grande exposition artistique, avec son exposition« Le Vin et la Musique, accords et désaccords», la Cité du Vin à Bordeaux révèle la richesse des liens entre la musique et le vin à travers un parcours sensible, sonore et visuel, qui convoque tour à tour les arts de la peinture, de la musique ou de la scène. 

De quoi faire revivre au visiteur la fête, le banquet et la taverne qui ont associé le vin et la musique dans tous les milieux, qu’ils soient princiers, bourgeois ou populaires. L’exposition est visible jusqu’au 24 juin 2018. Pour plus d’informations, cliquez-ici.

Le meilleur camembert du monde 2018 est québécois !

Tabernacle ! Au World Championship Cheese Contest, organisé dans le Wisconsin, aux Etats-Unis, c’est le camembert québécois qui est classé comme meilleur camembert du monde ! Ce camembert au joli nom « l’extra », est produit à Saint Hyacinthe par la coopérative Agropur avec du lait pasteurisé. Il s’est distingué d’après le communiqué de presse par son goût crémeux de lait, de noisettes et de champignons qui a ravi les papilles aguerries d'un panel de juges de renommée internationale. Tout le mérite revient à la maître-fromagère Nathalie Beil, qui a su réunir les parfaites conditions d'affinage pour une pâte molle équilibrée. Cette nouvelle pour les français est presque ressentie comme un canular, car ils gardent l’image d’un bon camembert produit de manière artisanale avec du lait cru, et moulé à la main. Au Québec, Agropur reconnaît que son camembert n’est certes pas produit selon les appellations contrôlées d’origine françaises, et ce qui compte, c’est le produit final. La bonne nouvelle, je suis ravie que mes amis au Québec puissent déguster leur meilleur camembert du monde 2018 ! La seule consolation française dans ce concours, c’est un fromage français du Sud-Ouest, l’Esquirrou, qui a été sacré champion du monde toutes catégories.

Les madeleines Jeannette 1850 : la saveur du terroir normand !

Déguster des madeleines Jeannette, c’est apprécier la saveur de la renaissance d’un produit du terroir normand. Fondée en 1850, cette entreprise avait failli disparaître sans la ténacité de ses salariés licenciés, décidés à se battre et à reprendre le flambeau fin 2013. 

Depuis, ces madeleines, confectionnées avec « des œufs frais de poule élevées en plein air et au pur beurre d’Isigny AOP » se sont vus décernés le label « Entreprise du patrimoine vivant ». L’ancienne boutique de Démouville (Calvados) a fermé ses portes au profit d’une nouvelle, flambant neuve. A Colombelles, les clients sont accueillis dans 200 m² dédiés aux produits de la marque et aux produits normands. Dès la première bouchée, on ressent toute la gourmandise en beurre de ces madeleines artisanales. L’équipe dirigeant a eu la bonne décision de monter en gamme et de travailler avec des produits de première qualité. Le packaging s’est aussi modernisé comme ces pyramides. 

De plus, vous aurez un mal fou à faire un choix tant les parfums proposés sont variés. Il y a la madeleine classique, mais aussi au yuzu, au combawa, amanatsu, aux agrumes, à la vanille, aux pistaches… La bonne nouvelle, vous pouvez les commander en ligne et les recevoir tranquillement chez vous !

Menakao, le chocolat malgache avec les visages de Madagascar

Les chocolats malgaches Menako attirent de suite l’œil par leur packaging avec les magnifiques visages de Madagascar. Leurs emballages en histoire racontent toute la diversité des ethnies qui peuplent cette grande île, à travers leurs coiffes et leurs habits traditionnels. Il y a les Tanala (ceux qui vivent dans la foret), les Betsimisaraka, ou encore les Merina de la région d’Antananarivo… Chaque portrait est associé à une saveur. 

L’histoire de cette marque est lancée en 2012 par la famille d’origine indienne Cassam Chenaï arrivée à Madagascar au début du XIXème siècle. Quatre générations plus tard, ces jolis portraits rappellent l’activité d’origine de la famille : la vente des cartes postales. 

« Mena » en malgache signifie rouge. Rouge comme la couleur cette terre malgache riche en minéraux et sédiments déposés par la rivière Sambirano où poussent les cacaoyers au nord-est de Madagascar près d’Ambanja. « Kao » signifie chocolat. Lancés d’abord pour le marché intérieur, ces délicieux chocolats Menakao comment à être exportés, avec une gamme dédié aux professionnels. Leurs qualités sont reconnues aussi par l’obtention de nombreux prix internationaux. Pour découvrir les chocolats Menakao, cliquez-ici. Si vous hésitez entre toutes les saveurs, optez pour la tablette dégustation !