Double Royal wedding cake

Voici la pièce montée créée par la célèbre pâtissière Fiona Cairns, personnellement choisie par le duc et la duchesse de Cambridge, à la fois royal et chic, dont le décor sonne comme un écho à la magnifique robe de Kate, créée par Sarah Burton, de la maison Alexander Mac Queen.

Ce fruit cake était décoré de 16 fleurs symbolisant le bonheur (la rose), la tendresse (le lys), le mariage (le lierre)...

Spécialement pour William, un gâteau au chocolat confectionné à partir des fameux «tea biscuits» McVitie's dont le prince raffolait enfant.

Menu mariage Kate & William

Il y a eu deux wedding cake, il y a eu aussi deux baisers au balcon ! Le duc et la duchesse de Cambridge (oubliez désormais votre familiarité !) ont ravi les anglais et le monde entier. Le buffet, entièrement composé de canapés, a également enchanté les papilles des 650 invités triés sur le volet. Les créations sont signées du chef officiel de Buckingham Palace Mark Flanagan, épaulé par 21 chefs. Plus de 10 000 pièces étaient servies accompagnées de champagne Pol Roger et une sélection de soft drinks. Les ingrédients servis reflètent le terroir anglais avec le canard de Gressingham, les asperges d'Angleterre, des langoustines et du haddock d'Ecosse, de l'agneau du domaine des Windsor... En version salée, on trouvait par exemple du crabe de Cornouailles sur des blinis citronnés, une terrine de canard au chutney, une roulade de fromage de chèvre aux noix caramélisées, des langoustines d'Ecosse ou encore des chipolatas au miel et à la moutarde.
Quant aux bouchées sucrées, elles comprenaient de mini gâteau opéra, des financiers aux framboises, des crèmes brûlées à la rhubarbe ou encore des truffes à la ganache.
De quoi vous inspirer pour vos garden party de cet été. Voici l’appellation des canapés en version originale.
* Cornish Crab Salad on Lemon Blini
* Pressed Duck Terrine with Fruit Chutney
* Roulade of Goats Cheese with Caramelised Walnuts
* Assortment of Palmiers and Cheese Straws
* Scottish Smoked Salmon Rose on Beetroot Blini
* Miniature Watercress and Asparagus Tart
* Poached Asparagus spears with Hollandaise Sauce for Dipping
* Quails Eggs with Celery Salt
* Scottish Langoustines with Lemon Mayonnaise Pressed Confit of Pork Belly with Crayfish and Crackling
* Wild Mushroom and Celeriac Chausson
* Bubble and Squeak with Confit Shoulder of Lamb
* Grain Mustard and honey-glazed Chipolatas
* Smoked Haddock Fishcake with Pea Guacamole
* Miniature Yorkshire Pudding with Roast Fillet of Beef and Horseradish Mousse
* Gateau Opera
* Blood Orange Pate de Fruit
* Raspberry Financier
* Rhubarb Crème Brulee Tartlet
* Passion Fruit Praline
* White Chocolate Ganache Truffle
* Milk Chocolate Praline with Nuts

www.officialroyalwedding2011.org

Sweeney tood

Connaissez-vous les comédies musicales gore ? C’est le moment d’aller au théâtre du Châtelet pour assister à la représentation de « Sweeney todd » ! Le pitch ? C’est l’histoire terrifiante d’un barbier, Benjamin Barker alias Sweeney Todd, serial-killer qui égorge ses clients. C’est aussi une histoire d’amour hilarante avec sa voisine, Mrs Lovette, qui récupère les cadavres pour en faire des tourtes à la viande ! Cette pièce de Stephen Sondheim, malgré son propos macabre n’arrête pas de faire rire les spectateurs ! Vous ne verrez plus les tourtes anglaises de la même manière !

Pour réserver :www.chatelet-theatre.com/chatelet1011/musicals/sweeney-todd,456

Un dimanche à Paris

Derrière cette petite phrase « Un dimanche à Paris » se cache le premier concept store tout autour du chocolat de Paris, avec une boutique, un bar à chocolat, un restaurant, un salon du chocolat, un chocolate lounge, des ateliers de cuisine et de pâtisserie ! Que du bonheur !
Son créateur n’est autre que Pierre Cluizel. Troisième génération de l’entreprise chocolatière Michel Cluizel qui fournit 5000 pâtisseries, chocolateries et restaurants en France, et dans une 40taine de pays. Le nom est associé à l’une des 30 entreprises dans le monde à transformer les fèves de cacao en chocolat.

Pour Pâques, le concept store a concocté un programme plein d’humour, de poésie et de promenade, aussi bien pour les petits que pour les grands.

Le concept store est situé dans le passage de la cour du commerce Saint André, près du métro odéon, à quelques centaines de mètres du restaurant historique du Procope !

Découvrez toutes les activités sur leur site.
www.un-dimanche-a-paris.com

Eau d’iceberg

Le water bar de chez Colette ainsi que de la Grande Epicerie de Paris propose depuis quelques jours l’eau la plus millésimée du monde, soit 12000 ans âge ! Il s’agit de « l’eau la plus pur du monde » prélevée sur un iceberg du Grand Nord canadien vendue sous la marque de Glace Rare Iceberg Water. Les 700 ml vous coûtent 18€. Même à ce prix, il ne s’agit pas de l’eau la plus chère du monde qui reste toujours la Bling H2O à 30€ la bouteille (eau de source de Tennessee, aux Etats-Unis dans une bouteille griffée du bijoutier Swarovski).

Pour recueillir cette eau, on fait dériver les morceaux d’iceberg choisi au large des côtes de Terre Neuve et du Labrador. Un bateau usine extrait les blocs d’iceberg, les broie et les fait fondre. Puis l’eau d’iceberg est embouteillée dans une usine près de Montréal après un contrôle de qualité. Les écologistes dénoncent cette exploitation de la nature et mettent en avant le bilan carbone catastrophique d’une telle activité ! L’aspect marketing est très réussi pour la clientèle bling bling, d’autant plus que cette eau est très pauvre en minéraux !

La cuisine de la République

Les français s’intéressent à la cuisine, les femmes et les hommes politiques le savent et surfent sur cette tendance. La dernière initiative vient de la députée du Doubs Françoise Branget, qui a eu l’idée de demander à ses collègues, toutes couleurs politiques confondues (sauf les verts), de partager leurs recettes dans un livre intitulé « La cuisine de la République » au cherche midi. C’est l’occasion pour ces mesdames et messieurs les députés de montrer qu’ils sont tous amateurs de bonne chère, et n’hésitent pas à vanter les produits de leurs terroirs. Pour vous qui espérez trouver la fameuse recette de « Tête de veau » si chère à l’ancien président de la République Jacques Chirac, vous serez déçue. Par contre, vous pouvez vous jeter sur la recette de saucisse de Morteau de Jean Marie Binetruy (Doubs). Il proclame qu’elle est diététique et délicieuse, car plus maigre que la saucisse de porc !
L'Ardéchois Pascal Terrasse trempe les mains dans la châtaigne avec "la cousina" et François Sauvadet (Côte d'Or) livre la formule des célèbres œufs en meurette en conseillant de "servir le même vin" en accompagnement, c'est-à-dire... "Un bon bourgogne". L'inspiration vient souvent des proches: Bernard Debré (Paris) livre les secrets du gâteau au chocolat de sa grand-mère, Lionnel Luca (Alpes-Maritimes) dévoile les poivrons grillés de son épouse, tout comme Marc Le Fur (Côtes-d'Armor) avec le gâteau de crêpes au citron "Nathalie". Certains s'aventurent même, comme Laurent Hénart (Meurthe-et-Moselle) et son "gâteau bleu", qu'il a "eu l'idée de créer" en famille pour retrouver le goût des myrtilles de son enfance.
Les grands classiques du terroir ne manquent pas: tarte aux maroilles (Xavier Bertrand, Aisne), croûte aux morilles (Françoise Branget, Doubs), pipérade (Jean Lassalle, Pyrénées-Atlantiques), truffade (Vincent Descoeur, Cantal), diots au vin blanc (Bernard Accoyer, Haute-Savoie) ou encore kig ar farz (Jacques Le Guen, Finistère)...
Jean-François Copé (Seine-et-Marne) met à l'honneur sa ville avec un "filet mignon nappé de brie de Meaux" tandis que François Hollande (Corrèze) livre sur toute une page l'historique de la "farcidure". La poésie vient d'outre-mer avec Gabrielle Louis-Carabin (Guadeloupe) et son "tourment d'amour", spécialité des îles des Saintes. Les droits de cet ouvrage, qui sort le 14 avril, seront versés à la Fondation de France.
Si vous désirez voir vos députés à l’œuvre, branchez-vous sur l’émission de Périco Légasse « Toques et Politiques ». Chaque mois, deux députés et un chef de la même région sont reçus, pour cuisinier, déguster et converser sur les produits du terroir. Vous pouvez revoir les anciennes émissions.
www.lcp.fr/emissions/toques-et-politique

Les plats très british à déguster

Quels sont les plats très british à déguster durant votre séjour à Londres ? Arnold Bennet omelette L’omelette Arnold Bennet doit son nom au célèbre écrivain anglais de la fin du XIXème siècle. Il fréquentait le fameux Savoy Hotel où son plat préféré consistait en une omelette composée de morue fumée, de fromage et de crème. Depuis, l’omelette a gardé le nom de l’écrivain et le chef Gordon Ramsay a lancé sa propre version au nouveau Savoy Grill, le restaurant de l’hôtel. The Savoy Grill, The Strand, www.gordonramsay.com/thesavoygrill Fish & Chips C’est sûrement un des plats anglais que nous connaissons le mieux. Le fish & chips (poisson frit avec ses frites chaudes » est aussi la street food anglaise la plus exportée. A savourer sur place ou à emporter au Sea Shell, un des « chipies » incontournables de Londres, à la décoration chaleureuse et aux portions généreuses. Sea Shell, www.seashellrestaurant.co.uk English fry up C’est le festin du matin. Ce petit déjeuner se compose d’œufs frits, de bacon, de saucisses, de tomates cuites, de haricots blancs cuisinés, de champignons, de boudin blanc et de pomme de terre sautées. A savourer par exemple au restaurant très cosy de l’hôtel Dean Street Townhouse. Dean Street Townhouse www.deanstreettownhouse.com Sunday roast with Yorkshire pudding Comme son nom l’indique, le rôti du dimanche se mange le dimanche ! Direction donc le gastro pub Albion, qui vous propose un rôti de bœuf cuit à la perfection accompagné de son fameux Yorkshire pudding, sorte de gros beignet à mi chemin entre un muffin et une pâte à choux ! The Albion, www.the-albion.co.uk Bacon Sarnie En-cas très populaire originaire d’Ecosse, ce savoureux mais très calorique sandwich au lard se mange avec ou sans sauce HP (condiment incontournable marron et épicé des tables anglaises) au Wolseley, un lieu historique d’inspiration art-déco, dans la tradition des grandes brasseries européennes. The Wolsesely www.thewolseley.com

Les plats très british à déguster (suite)

Quels sont les plats très british à déguster durant votre séjour à Londres ? Pork scratchings Ce snack très typique est fait à partir de la peau de porc frite. A déguster chez Hix, accompagné du Hix Fix, le cocktail fétiche du chef Mark HIx (chouchou des critiques culinaires !) qui fait régner l’esprit club anglais dans on resto de Soho. Hix, www.hixsoho.co.uk Banger and mash Littéralement, saucisse et purée. Servie dans une sauce marron (the gravy), la saucisse est traditionnellement fabriquée avec de la viande de porc. Le café londonien S&M, petit endroit stylé qui rejoue une partition très XIXème siècle avec surenchère de velours et lumières tamisées, propose des variations à l’infini de ce plat typique. Il y a en même pour les végétariens ! S&M, 4-6 Essex Road, N1 8LN Chicken tikka Masala Importé d’Inde, ce plat de poulet épicé et crémeux est véritablement né dans les restaurants indiens de Soho dans les années 1970 ! Gopal’s of Soho, www.gopalsofsoho.co.uk Welsh rarebit Autre en-cas très british, le welsh rarebit se compose d’une tranche de pain recouverte de cheddar fondu. Chez Daylesford Organic, une chaîne de café bio où tout est fabriqué artisanalement dans la ferme de Daylesford, le welsh rarebit est encore plus authentique. www.dayslesfordorganic.com Shepherds’s Pie Ce n’est rien d’autre qu’un hachis parmentier sous influence bêlante ! La recette consiste en une couche d’émincé de mouton ou d’agneau sous une couche de purée de pomme de terre gratinée. The Ivy propose une version bourgeoise de ce plat populaire ! The Ivy, www.the-ivy.co.uk

Borough market, Londres

Lors de votre visite de Londres, pensez à visiter le Borough Market, ce marché qui vous fait découvrir ou redécouvrir les bons produits anglais. Il est juste situé près de London Bridge depuis plus de 1756 ans sous une halle percée de verrières. Il est devenu le temple de la gastronomie anglaise et le lieu de prédilection des chefs comme Jamie Oliver et Gordon Ramsay. C’est devenu aussi le lieu préféré des touristes et des bobos british. Ouvert les jeudis, vendredis et samedis, plus de 100 stands vous proposent tous les produits bruts (fruits, viandes, légumes, fromages, produits laitiers, vins…), des plats cuisinés internationaux (Caraïbes, Grèce, France…) ; chocolats fins, vins… Au cœur du marché, vous pouvez vous restaurer de « pies » anglais au restaurant Roast, ou le fameux « fish & chips » au Fish. De plus, les noms originaux des stands complètent la saveur des produits : « The ginger pig » (le cochon au gingembre), le Greedy Goat (la chèvre gloutonne)… Le marché sera ouvert le vendredi du mariage royal ! www.boroughmarket.org.uk/

Real man food ! Man !

Les hommes ont-ils les mêmes attentes que les femmes en matière de « food » ? La réponse semble non avec l’émergence de produit gourmands et site culinaire conçu pour les vrais mâles ! A New York, le premier à s’être lancé est Marcus Samuelsson. Il a décidé de lancer son site Food Republic, qui s'adresse à la gent masculine, ignoré de la blogosphère culinaire. Il s’adresse donc aux célibataires qui "veulent impressionner une conquête avec leurs talents culinaires ou en concoctant un martini qui tue", mais aussi aux hommes qui soignent leur ligne, aux papas-cuistots, ou à tout autre homme souhaitant cuisiner des repas nutritifs "plus complexes que des nuggets de poulet ou des tartines au fromage fondu". Son site répond propose aussi des ustensiles de cuisine haut de gamme, à l’image des voitures de luxe, et des peoples, surtout des femmes en tenue légère qui confessent le meilleur repas qu’on homme ait préparé ! Le site promet également de solliciter les stars et autres célébrités du monde du sport, de l'art, de la finance, de la musique et de la cuisine, pour qu'ils dévoilent leurs expériences culinaires, leurs restaurants et leurs bars préférés ! L’aspect diététique n’est pas oublié !A New York également, David Arrick a crée tout simplement le cupcake pour hommes avec sa société sa Butch Bakery avec des parfums alcoolisés pour mecs, à base de rhum coco, la bière, B-52, whisky orange… un topping camouflage qui rappelle les codes de l’armée ! Derrière ces créations, il y a un véritable travail et recherche marketing, et de construction des goûts

Red Rooster

C’est au restaurant du médiatique chef Marcus Samuelsson, le « Red Rooster » à Harlem que le président Barak Obama a organisé son premier dîner pour une levée des fonds du parti démocrate en vue de la prochaine élection présidentielle. Le chef Marcus Samuelsson est d’origine africaine et de nationalité suédoise ! Le choix de ce premier chef n’est donc pas le fait du hasard. Il avait déjà cuisiné pour Barak Obama lors de son premier dîner officiel à la Maison Blanche. Il est le plus jeune chef à recevoir une note de trois étoiles dans une critique culinaire du New York Times, pour son premier poste au restaurant Aquavit à New York ! Pour la touche cocorico, il avait ses classes en France chez Georges Blancs et possède des restaurants aussi à Stockholm et à Chicago ! Il a ouvert son « Red Rooster » depuis décembre 2010. Le président lui donne un sacré coup de pub !

Au menu de ce premier dîner de « fund raising » à 30 800 US$ le couvert : une salade de homard, beurre au miel, asperges, Côtes de bœuf braisées, oignons de printemps, réduction au vin rouge. En dessert, Gâteau au chocolat, compote de rhubarbe, et doughnuts de patate douce, cannelle, sucre roux ! Pour découvrir ce chef talentueux qui a aussi commis des ouvrages : « The Soul of a new cuisine » où il explore les saveurs africaines et « New american table », vous pouvez profiter de son savoir et de ses idées sur son site personnel http://marcussamuelsson.com/ ainsi que celui de son restaurant ! http://redroosterharlem.com/

Prix de la meilleure baguette de Paris

Et si vous devenez membre du jury pour participer à l’élection de la meilleure baguette de Paris ? Deux conditions pour être sélectionné parmi être l’un des 6 membres non professionnel : être libre le 3 mai et habiter à Paris ou en Ile de France. Vous avez jusqu’au 25 avril minuit pour vous inscrire sur le site de la mairie de Paris.

Comme vous le savez, la mairie de Paris organise chaque année le concours de la meilleure baguette. Elle doit avoir une cuisson parfaite, un aspect doré et croustillante, une mie couleur crème ; mesurer 55 cm environ et peser entre 250 et 300 g. Votre rôle est très important. En effet, le gagnant se verra attribuer un prix de 4000 € avec le droit de fournir l’Elysée pendant un an. Pour mémoire, le gagnant de la dernière édition est le boulanger Djibril Bodian, du « Grenier à pain ».

Hot Dog de luxe

Cocorico pour les produits marqués à l’ADN de la France ! Le café restaurant de Serendipity à New York affiche sur sa carte un hot dog de luxe à 69$, baptisé «Serendipity Foot Long Haute Dog». Il est présenté comme le hot-dog pour gastronomes fortunés, et est entré dans le Livre Guinness des records, dans la catégorie «hot-dog le plus cher du monde». Il est devenu un point d’attraction Manhattan. Le restaurant est fréquenté par des célébrités comme Zac Efron, Vanessa Hudgens et Bill Clinton. Long de 30 cm, il est constitué de viande 100% boeuf grillée dans de l'huile de truffe blanche, d'un pain de type bretzel importé d'Allemagne, grillé lui aussi, au beurre de truffe blanche, de médaillons de foie gras de canard, de truffes noires, de moutarde de Dijon aux truffes noires, d'oignons Vidalia caramélisés et de ketchup de tomates anciennes. En un mot, vous pouvez le reproduire à la maison. Si vous n’aimez pas la truffe blanche et le foie gras, choisissez le « Caviar burger » avec des tranches de concombre, de la crème aigre, du caviar au prix de 18.50$ www.serendipity3.com/main.htm

Colombe de Pâques

Pâques, dans la religion chrétienne, commémore la résurrection du Christ. Si les français personnifient cette fête avec les œufs, qui induisent l’idée de renaissance, les italiens eux rajoutent en plus la colombe, qui symbolise la paix. En effet, dans l’épisode du déluge, la colombe revient à l’arche de Noé avec un rameau d’olivier au bec comme signe de vie. Une pâtisserie en forme de colombe est vendue durant cette semaine sainte. Elle se rapproche d’une brioche très moelleuse, riche en beurre, parsemée de sucre ou d’un glaçage. Je le préfère aussi recouverte d’amaretti et d’amandes grillés. Ce gâteau de Pâques, a des origines lombardes. La légende veut qu'un pâtissier de Pavia autour du 750 après JC en signe de paix avec le roi longobard Alboino lui offrit cette douceur. Vous pouvez le commander en ligne chez les 4 gourmets. Ci-après la recette pour une confection maison. Pour le déjeuner, comme en France, après les pâtes en entrée, c’est l’agneau rôti qui est la pièce maîtresse du déjeuner pascal. Il rappelle l’agneau de Dieu qui a donné sa vie pour le Salut du monde. Sur la table du déjeuner, sont disposés les œufs de Pâques bénis par le prête.

Jurassic Pâques

Je ne résiste pas au plaisir de vous présenter mon coup de cœur de Pâques, pour ce « Jurassic Pâques » qui change des traditionnelles poules chocolatées avec leurs œufs. Je suis toujours admiratif de la créativité de cette belle maison « A la mère de famille » au goût d’autrefois. Vous pouvez choisir entre le petit modèle et le grand modèle. Liste des points de vente sur www.lameredefamille.com

Dîner grands chefs à Versailles.

Voici en photo le sésame pour déguster au « Dîner des grands chefs à Versailles » qui s’est déroulé mercredi soir au Château de Versailles.

Comme je l’avais décrit dans mon précédent post, ce dîner, organisé par les Relais & Châteaux et les Grandes Tables du monde a pour objectif de trouver des fonds pour financer à la création de la Cité de la gastronomie. A la demande de grands chefs qui ont réalisé ce dîner, une partie des bénéfices est reversée pour venir en aide modestement à leurs amis japonais suite au drame du tsunami. N’oublions pas que bon nombre de chefs sont implantés au Japon.

Le dîner, servi dans la Galerie des Batailles, se rapproche presque d’un service à la française par le nombre de plats servis, soit 48 plats différents signés des plus grands chefs français et étrangers. 16 entrées froides (à base de saint-jacques ou homard), 16 entrées chaudes (bar de ligne, morilles) préparées au guéridon et 16 plats (canard de Challans, agneau de l’Aveyron) découpés en salle. Les desserts étaient en partie produits par les chefs, complétés par les Paris-Brest et autres spécialités de la Pâtisserie des Rêves de Philippe Conticini. Il n’y a eu aucune communication dans la presse sur le détail des recettes servies, sûrement pour préserver l’exclusivité aux médias professionnels, car la soirée a été filmée par la télévision française, et japonaise.

Pour déguster à ce dîner exceptionnel, les convives ont déboursé 890€, avec en prime, une visite privée du château, les appartements royaux et la galerie des glaces ! Côté vins, après un champagne Dom Pérignon millésimé 2002, les tables ont pu savourer successivement un Cheval Blanc 2004 puis un château Yquem 1996.

Toute la logistique est assurée par

Potel & Chabot, avec son chef d’orchestre Jean Pierre Biffi. Ce traiteur historique haut de gamme est connu des maisons royales. Il a récupéré toutes les fiches techniques des chefs, réalisé et cuisiné les recettes. En effet, aucune production n’était réalisée au château de Versailles. 120 personnes assuraient les dressages et les remises en température des plats chauds avec un timing digne d’une pièce de théâtre. Comme dans tous les banquets modernes, le service était assuré à l’assiette.

Personnellement, je me pose la question de la résistance de mes papilles pour déguster à 48 recettes. Les clients ce soir là n’ont pas cette interrogation et désirent échanger en direct avec les chefs dont voici la liste Jean-Christophe Ansanay-Alex, Restaurant Auberge de l’Île,

FranceChristophe Bacquié, Hôtel du Castellet,

FrancePierre Basso-Moro, Château de Germigney,

FrancePatrick Bertron, Le Relais Bernard Loiseau,

FranceEric Briffard, Georges V,

FranceJonathan Cartwright, The White Barn Inn and Spa, United States

Jacques Chibois, La Bastide Saint-Antoine,

FranceDidier Clément, Grand Hôtel du Lion d’Or,

FrancePhilippe Colinet & Yoshihiko Miura, Auberge des Templiers,

FranceJean Coussau, Relais de la Poste, France

Hélène Darroze, Restaurant Hélène Darroze,

FranceAlain Dutournier, Restaurant Carré des Feuillants,

FrancePhilippe Etchebest, Hostellerie de Plaisance,

FranceAnnie Féolde, Restaurant Enoteca Pinchiorri, Italia

Yannick Franques, Château Saint-Martin & Spa,

FrancePhilippe Gauvreau, Le Pavillon de la Rotonde & Spa,

FranceRémy Giraud, Domaine des Hauts de Loire,

FranceMarc Haeberlin, L’Auberge de l’Ill,

FrancePer Hallundbaek, Falsled Kro, Danmark

Patrick Henriroux, La Pyramide,

FranceDaniel Humm, Eleven Madison Park, United States

Jean-Pierre Jacob, Ombremont, France

Patrick Jeffroy, Restaurant Patrick Jeffroy, France

Jean-Georges Klein, L’Arnsbourg - Hotel K, France

Johann Lafer & Martin Steiner, Johann Lafer’s Stromburg, Germany

Cyril Leclerc, Château d’Adoménil, France

Jean-Michel Lorain, La Côte Saint Jacques & Spa, France

Edouard Loubet, Bastide de Capelongue, France

Régis et Jacques Marcon, Hôtel et Restaurant Régis et Jacques Marcon, France

Guy Martin, Le Grand Véfour, France

Marc Meneau, L’Espérance, France

Marc Meurin, Le Château de Beaulieu, France

Kiyomi Mikuni, Restaurant Hôtel de Mikuni, Japan

Philippe Mille, Les Crayères, France

Christophe Moret, Restaurant Lasserre, France

Toni Mörwald, Mörwald « Kloster Und », Austria

Pierre Orsi, Restaurant Pierre Orsi, France

Alain Pégouret, Restaurant Laurent, France

Michel Portos, Le Saint-James, France

Jacques & Laurent Pourcel, Le Jardin des Sens, France

Eric Pras, Maison Lameloise, France

Jean-Luc Rocha, Château Cordeillan-Bages, France

Michel Rostang, Michel Rostang Restaurant, France

Emmanuel Stroobant, Saint Pierre, Republic of Singapore

Gilles Tournadre, Restaurant Gill, France

Michel Troisgros, Maison Troisgros, France

Jean-Pierre Vigato, Restaurant Apicius, France

Hiroshi Yamaguchi, Kobe Kitano Hotel, Japan

Dîner orchestré par Potel et Chabot Chef des Cuisines : Jean-Pierre Biffi

Avec la participation de Bernard Vaussion et Guillaume Gomez des cuisines de la Présidence de la République

Bilan carbone de votre assiette

Le bilan carbone de ce qu'une famille de quatre personnes mange en moyenne par an en France représente l'équivalent des émissions de dioxyde de carbone d'une voiture parcourant 35.000 kilomètres, selon une étude sur l'impact environnemental de la nutrition. "La consommation moyenne annuelle (en nourriture) d'un enfant représente 1,2 tonne d'équivalent carbone par an et celle d'un adulte 1,5 tonne", a expliqué Serge Michels directeur général des stratégies de l'agence Protéines, qui a réalisé cette étude avec le Centre de Recherche pour l'Etude et l'Observation des Conditions de vie et le cabinet Greenext. "Pour une famille de quatre personnes, cela équivaut à une distance de 35.000 km parcourus dans une voiture, émettant 150 grammes de CO2 au km", a-t-il précisé. Mais le bilan carbone peut varier fortement suivant les habitudes alimentaires. Les "apéritivores" qui aiment l'alcool, les petits fours et produits salés allant avec, présentent le bilan carbone le plus lourd. A l'inverse, les "gastronomes à la française", qui aiment bien manger de tout, "ont un impact carbone inférieur à la moyenne de 1,5 tonne d'équivalent CO2", a souligné Serge Michels. L'étude visait en particulier à comparer l'impact carbone et les qualités nutritionnelles de trois régimes alimentaires. L'impact est calculé en termes d'émissions de gaz à effet de serre par les moyens de production, de transformation et de transports des aliments qui composent ces régimes. Les trois régimes étudiés étaient : le régime préconisé par le Programme national "Nutrition Santé" (PNSS), mieux connu sous le slogan "cinq fruits et légumes, trois produits laitiers et de la viande en quantité modérée par jour", un régime végétarien qui inclut poissons et produits laitiers et le régime hyper-protéinés amaigrissant de Dukan. Le végétarien est le mieux classé, suivi par le régime PNNS "équilibré sur le plan nutritionnel mais avec un impact carbone élevé", selon lui. Le régime Dukan, favorisant surtout les viandes rouges maigres, est le plus mauvais pour la planète avec un bilan carbone de plus de 3,5 t équivalent CO2 par an. Cependant, a mis en garde M. Michels, vouloir réduire au maximum son bilan carbone à travers l'alimentation conduirait à se nourrir surtout de produits gras d'origine végétale, "un constat aberrant sur le plan santé et nutrition". Pour mieux connaître le bilan carbone de votre assiette, visitez les sites suivants : www.greenext.eu www.carbonfootprint.com/calculator.aspx

Un mariage princier, 2 wedding cakes

Si le menu du banquet de mariage du prince William et de Kate Middleton reste encore secret, Buckingham palace a communiqué officiellement sur les « wedding cakes ». Les heureux invités triés sur le volet auront le plaisir de déguster à deux gâteaux. C’est la célèbre pâtissière très anglaise Fiona Cairns qui aura l’honneur de confectionner la pièce montée principale. Kate Middleton a donné des instructions très précises. Ce sera un gâteau très anglais, à étages, crémeux, décoré d’un « motif floral très britannique ». À l’intérieur, il y aura des raisins de Smyrne, des fruits secs, des noix, des cerises, du citron, du zeste d’orange et du Cognac. Les initiales entrelacées de William et Kate sera la touche romantique de la pièce. Pour le deuxième gâteau, c’est le fabricant britannique de biscuits McVitie’s qui se chargera de sa confection. Cette commande correspond à une envie personnel du prince William, à un « gâteau souvenir ». En effet, petit, le prince William adorait déjà les célèbres « tea biscuit » Mac Vities qui datent de 1888 ! Le fabricant doit s’en tenir uniquement à une recette secrète provenant du palais de Buckingham ! Donc, qui dit recette secrète, dit ingrédients secrets. On sait seulement qu’il sera « fait de chocolat noir et de ‘tea biscuits’ ». Pour suivre l’actualité officielle du mariage, rendez vous sur le site du palais www.officialroyalwedding2011.org

Banquet de mariage William & Kate

Si la nature des deux gâteaux de mariage est maintenant dévoilée, le secret couvre encore le menu du banquet de mariage du William & Kate ce 29 avril 2011. Les paris vont bon train ! Darren Mac Grady, ancien royal chef de la reine Elisabeth et de la princesse Diana, avait préparé les repas du prince William au palais de Kensington. Pour la réception prévue juste après le mariage religieux, il parie sur un déjeuner à base de champagne, avec des petits feuilletés de saucisses et des bouchées de saumon fumé très appréciés au palais. Pour le banquet « familial », il parie sur un dîner qui met en valeur les plats traditionnels anglais avec le « cottage pie », un des plats préférés de William enfant, ainsi que du steak gaélique. Le cottage pie est à base de bœuf à la Worcestershire sauce et de purée de pommes de terre, et le steak gaélique, un steak de bœuf flambé au whisky. Le dessert sera-t-il un flan à la banane ? Un dessert servi à William et à Harry pour des occasions spéciales et dont les deux princes raffolent ? Un autre chef Niall Mc Kenna parie aussi sur des gourmandises qui mettent en avant le terroir anglais, avec des produits de saison : asperges, cresson, pomme de terre nouvelles, flétan, agneau primeur. Il parie sur des asperges à l’œuf de caille vinaigrette, le flétan poché au cresson, l’agneau rôti avec des pommes de terre nouvelles au beurre et poireaux braisés. S’il avait à proposer un dessert, il suggère sa gelée de rhubarbe et de fraise, avec une glace à la lavande qu’affectionne beaucoup de prince Charles ! De quoi vous inspirer pour votre menu de pâques ! Pour vous enrichir de l’histoire des banquets de mariage britannique, sur leur symbole, connectez-vous au site de la BBC www.bbc.co.uk/blogs/food/2011/03/the-history-of-royal-wedding-m.shtml www.officialroyalwedding2011.org

First Garden

Comme mère et première dame des Etats-Unis, Michelle Obama se sente concernée par la santé des américains. Elle est convaincue que chaque américain doit porter une attention particulière sur ce qu’il mange et boit, de la provenance des produits. Elle souhaite aussi que chaque famille américaine soit en meilleure santé, par la consommation des produits locaux, de plus de légumes et de fruits à table. Première étape de son action, la création d’un potager à la Maison Blanche en mars 2009. Avec les élèves de l’école Bancroft et des équipes de la Maison Blanche, pelle à la main, elle créait le « Premier jardin potager » du Pays. Deuxième étape, pour relayer son discours sur une meilleure alimentation, elle n’hésite pas à s’afficher dans les programmes jeunesse, à donner l’exemple en faisant de la gymnastique et à mettre en place son programme « Let’s move », équivalent de notre plan national nutrition santé ! L’auteur et illustratrice de livre pour enfants, Robbin Gourley, rend hommage au travail entrepris par la first lady en publiant en début de semaine son livre « First Garden : The White House Garden and how it grew » (Le premier jardin : le jardin de la Maison Blanche et comment il pousse), destiné aux enfants de 6 à 9 ans. Par des jolies aquarelles, Robbin Gourley propose à la fois un livre éducatif et de détente.

Educatif par le relai des messages d’une bonne nutrition, sur l’histoire des jardins des personnages historiques comme Thomas Jefferson, John Adams, Eleanor Roosevelt’s..), sur les animaux et plantes propre à un jardin américain. Sur la partie détente, la Maison Blanche a autorisé la reproduction de quelques recettes présidentielles, recettes issues des saisons ou des repas officiels. Sans être une publication officielle de la Maison Blanche, ce livre a reçu un accord de madame Obama. En effet, elle-même s’est mise à l’écriture de son livre de cuisine, qui sera publié en avril 2012 ! Un joli cadeau pour les enfants pour fêter le printemps et leur donner le goût du jardinage ! www.huffingtonpost.com/2011/04/04/first-garden-white-house-childrens-book_n_844445.html

Food Design

« En modifiant la forme, la couleur et les usages des aliments les mieux repérés, les nouvelles pratiques nous offrent d’autres sensations, des saveurs inédites, malmènent le bon et le mauvais goût. Ce qui se croquait hier se boit aujourd’hui, ce qui est ose sera peut être bleu demain » dit Marc Bretillot, figure emblématique du design culinaire. Il est l’invité du Lieu de design, où il présente une exposition autour des nombreux enjeux du design culinaire : industriels, sociétaux, culturels ! Un vinyle sonore en chocolat, des crabes en piercing, des post-it comestibles, des purée de légumes en forme de carreaux, du pot au feu en forme de totem, des tranches de fromages hollandais ajourées en forme de dentelle flamande du XVIème siècle, caviar de fruits anti-oxydant…

Bien plus qu'une belle présentation d'assiette, le design culinaire est un art véritable. Au même titre que le design d'un objet, il s'agit de mettre en forme, de moduler, de proposer des idées nouvelles et uniques. La cuisine s'ouvre à de nouveaux horizons et de nouveaux messages. Marc Bretillot a pensé cette exposition en trois temps: « Parcours », « Prospectives singulières » et « Pratiques vivantes et sensorielles » avec ce dénominateur commun de repérer et intégrer les nouvelles capacités de développement du design culinaire. En sortant, tenez vous prêt à aller rive gauche au bon marché pour déguster son mille feuille vertical ! 74 rue du faubourg Saint Antoine, Paris 12ème Jusqu’ au 30 avril 2011, accès gratuit www.lelieudedesign.com

Asperge du printemps

L’asperge est un des premiers légumes primeurs du printemps. Elle a inspiré et fait tourner bien des têtes, celle de François 1er jusqu'à celle du Roi Soleil qui en réclamait même en hiver! Délicate et raffinée, Louis XIV la souhaite à sa table en toute saison. Aussi à Versailles, Le Quintinie, responsable des jardins et du potager royaux, mis au point un ingénieux système de cultures sous abri, sous cloches et en couche chaude, permettant une récolte d'asperges, et de bien d'autres légumes, pratiquement toute l'année. Il ne devient un plat accessible aux communs des mortels qu’à partir du XIXème siècle lorsque sa culture commence à de développer en dehors de la région parisienne à Argenteuil. A ce jour, c’est la région Aquitaine qui est la zone de production la plus importante en France avec son asperge IGP des sables des Landes. L’asperge de Blayais est en cours de labellisation IGP. Parmi les trois sortes d’asperges, la blanche, la violette et la verte dont la couleur est la résultante ou non de leur exposition au soleil, je trouve que l’asperge verte est la plus savoureuse. Les meilleurs sont les asperges sauvages, plus minces et très vertes, avec un léger goût d’amertume. Pour la cuisson, il vaut mieux les faire cuire à la vapeur, entre 10 et 20 minutes selon leur taille avant de préserver tous leurs bienfaits nutritionnels. J’aime déguster les asperges de manière simple, avec une sauce mousseline. Pour confectionner ma sauce mousseline pour 1kg d’asperge, j’émulsionne à froid dans une sauteuse 5 jaunes d’œuf avec le quart de leur poids en eau froide. Je travaille la préparation sur un bain marie doux en la fouettant vigoureusement pour obtenir un sabayon très aérée. Hors du feu, je continue à fouetter le sabayon et j’incorpore 20g de beurre clarifiée. J’ajoute ensuite le jus d’un citron et 20g de crème fouettée. Puis, je sale et poivre délicatement. Cette sauce mousseline a l’avantage de mettre en valeur le côté sensuel de l’asperge, alors qu’une sauce vinaigrette casse tout son équilibre. En cette saison pascale je peux rajouter un œuf mollet sur mes asperges à la sauce mousseline ! D’autres recettes vous sont proposées sur le site de l’asperge IGP des sables des Landes. www.qualitelandes.com/asperge-des-landes.html.

Chocolat, vin rouge et sexe pour vivre mieux !

Jamais le livre d’un cardiologue nutritionniste n’a donné une ordonnance aussi joyeuse pour « arrêter de vieillir ». De récentes avancées scientifiques montrent que vivre bien et beaucoup plus longtemps n´est en rien, pour nous, un rêve irréalisable. La prévention du vieillissement connaît une incroyable révolution. Dans son ouvrage « La vie et le temps : les nouveaux boucliers anti-âge » aux éditions Flammarion, le docteur Fréderic Saldmann nous apprend d’abord que les pessimistes ne font pas de vieux os. Voltaire a écrit : « J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé ». Ensuite, la consommation du vin rouge, du chocolat noir et une sexualité active permettent de vivre vieux ! Pendant longtemps, si les français faisant moitié moins d’infarctus du myocarde que les américains, on pensait que c’était grâce au vin rouge. Or, les dernières découvertes scientifiques démontrent que c’est grâce à l’association du vin rouge et du chocolat noir. Deux petits de carrés de chocolat noir et un verre de vin rouge maximum par jour diminue de moitié les risques cardiovasculaires. Pour la pratique sexuelle, en éjaculant au moins 21 fois par mois (l’effet est déjà bénéfique dès 12 !), il diminue de moitié les risques cardiovasculaires et d’un tiers les risques de cancer de la prostate. Les études scientifiques ont démontré que les émissions de sperme contribuent au nettoyage régulier de la prostate. Plus elles sont fréquentes, moins la prostate se trouve exposée à l’apparition de cancers. Pour les femmes, l’hormone (l’ocytocine) libéré lors des relations sexuelles par l’hypophyse, dit l’hormone de l’amour renforce le sentiment de bien-être et a un effet protecteur contre le cancer du sein ! Avec les fêtes de Pâques qui approchent, nous n’avons plus aucune raison de faire l’impasse sur les œufs de Pâques, en chocolat noir !