vendredi 1 novembre 2024

Tofu, a culinary history de Thomas Russel

 


Ce livre de Thomas Russel, « Tofu, au culinary history », édité par The university Chicago Press s’adresse aux personnes fans de cette icône gourmande de la cuisine chinoise, ou qui désirent le rédecouvrir à travers de nombreuses anecdotes historiques, de sa naissance en Chine, jusqu’à son rayonnement en Asie, puis dans le monde. Ci-après la presentation du livre par la maison d’édition.

The surprising, spicy story of this globe-trotting vegetable protein staple.
 
To the untrained eye, there’s nothing as unexciting as tofu, normally regarded as a tasteless, beige, congealed mass of crushed, boiled soybeans. However, tofu more than stands up on its own. Reviled for decades as a vegetarian oddity, the brave, wobbly block has made a comeback. This global history of bean curd stretches from ancient creation myths and tomb paintings, via Chinese poetry and Japanese Buddhist cuisine, to deportations in Soviet Russia and struggles for power on the African continent. It describes the potentially non-Chinese roots of tofu, its myriad types, why “eating tofu” is an insult in Cantonese, and its environmental impact today
.”

La promenade des Anglais à Nice


En ces vacances de la Toussaint, il y a une différence de 15°C entre Paris et Nice sur cette promenade des Anglais ! 





Tandis que le pull est encore de rigueur dans la capitale, Nice semble encore vivre à l’heure d’été avec des promeneurs en t-shirt et en short ! Avec un soleil radieux, de nombreux vacanciers et locaux profitent de la plage et baignent dans la mer ! 





Les paillotes de luxe sur les plages sont saturées de clients, et les vendeurs de glace, affairés ! Si vous n’avez pas foulé l’iconique promenade des Anglais qui borde la mer et ses plages de galets, longue de 7 km, vous êtes considéré comme n’être jamais venu à Nice ! Construite en 1824 à l’initiative du révérend anglais Lewis Way, c’est la promenade incontournable des visiteurs mais aussi des locaux. 





On peut admirer la mer à perte de vue, mais aussi les plus beaux hôtels de luxe comme le mythique Hôtel Negresco, l’hôtel West End, et des bâtiments culturels comme le musée Masséna








On est dépaysé par les parfums de la mer, la végétation avec les palmiers, les senteurs d’agrumes. Tout au long du parcours se succèdent également des œuvres d’art, des pergolas et des chaises bleues, devenues un véritable symbole de la ville de Nice. 








En fin d’après-midi, les balcons des bars face à la mer sont les lieux les plus appréciés pour admirer le coucher du soleil un cocktail en main ! 




Si vous prenez le tram, descendez place Masséna, dirigez-vous vers le Dieu Apollon qui trône au milieu de la Fontaine du Soleil. La mer et la promenade des Anglais sont justes en face, à 5 minutes à pied.

Maison Auer Nice, confiserie et chocolaterie depuis 1820


En passant devant la vitrine de la maison Auer à Nice, on salive devant les jolis fruits confits encore gorgés de sirop dans des pots en terre cuite. 





On y reconnaît les clémentines, les mandarines, la cerise noire, le gingembre, les citrons, l’angélique, la poire, l’ananas, le marron, l’abricot … La clémentine que j’ai dégustée est d’une saveur incomparable, très parfumée avec une texture moelleuse et fondante. Cette maison Auer, située en face de l’Opéra dans le vieux Nice régale les becs sucrés depuis 1820. L’histoire commence au milieu du XIXème siècle, lorsqu’un jeune confiseur suisse, Henri Auer, séduit par l’abondance des productions fruitières méditerranéennes descend à Nice pour ouvrir cette boutique historique qui nous accueil encore. 





Ses fruits confits sont célébrés et connus dans le monde entier. Encore aujourd’hui, la recette est celle de ses origines, juste des fruits à maturité, du sucre, du temps, sans glucose, ni colorant, ni conservateur. Depuis, la gamme des produits proposée s’est élargie aux chocolats, aux confiseries, aux confitures, aux pâtes de fruits. On peut se faire plaisir à moins de 10€. Thierry Auer représente aujourd’hui la 5ème génération de cette saga familiale gourmande. Il perpétue un savoir-faire, une tradition et un héritage.





La boutique a gardé son décor d’origine avec ses consoles anciennes, son marbre, ses lustres en cristal. La couleur or est partout, du sol au plafond ! L’accueil est juste chaleureux !