Le jardin d’été du musée du Quai Branly nous invite à découvrir les saveurs et les cuisines du monde !

Avec son jardin d’été, le musée du Quai Branly à Paris nous invite à explorer les goûts et les saveurs du monde à travers des activités sensorielles entièrement gratuites dès 3 ans le weekend du 5 et 6 juillet 2025 ! Histoire de réveiller nos papilles, cultiver notre palais, enrichir notre imaginaire avec une série d’animations pluridisciplinaires. La découverte passe par un atelier de dégustation de chips (pomme de terre et autres légumes du monde) à l’aveugle, la création de masques à partir de légumes (pomme de terre, carotte, navet) avant d’être consommés, à l’initiation d’une cérémonie de thé japonais avec le matcha (thé vert en poudre). Elle passe aussi par la lecture gourmande, des concerts, des apéros gustatifs, des quiz, des spectacles, de projection de films avec les produits stars comme le cacao, le maïs, le mochi, la banane plantin, le thé, la vanille, la feuille de pandan, l’hibiscus …  Découvrez ici le programme détaillé.

Asaramanitra ! La fête nationale malgache !

Arahaba Tratry ny Asaramanitra daholo !

Bonne Fête Nationale de Madagascar !

 En ce jour du 26 juin, fête nationale à Madagascar, c’est l’occasion de mettre en lumière ce livre des éditions Teny, « Asaramanitra » écrit par Coralie et illustré par Fy. Destiné aux enfants et joliment illustré, il leur permet de découvrir la signification d’Asaramanitra (la grande fête, la fête nationale malgache), ses traditions culinaires, ses objets rituels, ses coutumes. 

Fondées en 2021, les éditions Teny se donnent comme mission d’éveiller les jeunes à l’imaginaire, à la nature et à la culture malgache. Le livre est en bilingue français malgache

Célébration de la fête nationale du Québec à Paris

Grâce à la délégation générale du Québec à Paris, tous les Québécois et amis du Québec ont fêté hier le 24 juin dans la joie et la bonne humeur la fête nationale du Québec. 

Après la cérémonie de la levée des couleurs à 16h30 place du Québec dans le 6^ème arrondissement de Paris avec la participation des Tambours et cuivre de la Nouvelle-France, nous nous sommes tous retrouvés rue Pergolèse dès 18h pour la fête populaire. 

Au programme, de la poutine, des queues de castor, de la bonne bière, et de la bonne musique avec DJ set de Marie-Gold, slam, concert de La Morissette et saveurs du Québec. La musique qui nous accueille à l’arrivée avec la façade de la délégation ornée de drapeaux fleurdelysés nous plonge d’emblée au pays du sirop d’érable. 

Les poutines de la soirée étaient proposées par « Les Poutineurs », classés meilleurs Poutineurs 2024 et 2025 hors du Canada ! La maison, qui met en avant son savoir-faire normand sur une recette québécoise propose la poutine classique avec frites maison, fromage en grain, sauce brune maison mais aussi d’autres créations comme la normande du camembert, poitrine fumée en plus ou une version végétarienne ! Pour les becs sucrés, le stand propose des queues de castor (beignet de pâte étiré en forme de queue de castor), des cookies nappés de sirop d’érable. 

Côté breuvages, il y a eu du choix entre les bières Molson, de la vodka soda aux bleuets, des sodas et de l’eau. Ces boissons étaient vendues par la maison des étudiants canadiens. Les bénéfices de la soirée financeront une bourse destinée à un athlète de haut niveau.

 Les participants peuvent garder en souvenir le gobelet de boisson à fleurs de lys consigné à 1€ ou le rendre.

 Ce fut une soirée délicieuse et conviviale avec l’accueil chaleureux de monsieur Henri-Paul Rousseau, délégué général, qui se prête pour la pause photo souvenir avec tous les volontaires !

Déguster des accras de morue et du bissap place de l’hôtel de ville de Paris, avec sa nouvelle forêt urbaine.

Après la place de la Catalogne et le bois de Charonne, la troisième forêt urbaine de Paris sort de terre place de l’hôtel de Ville ! 

Ouvert au public depuis le jour de la fête de la musique le 21 juin 2025, la place de l’hôtel de Ville est complètement métamorphosée. Les deux côtés de son parvis sont végétalisés avec 150 arbres ! L’objectif ? Créer des îlots de fraîcheur en centre-ville en temps de canicule. 

Mais il n’est pas encore possible de vous asseoir à l’ombre des arbres ! Pour cela, profitez pour le moment des tables et des chaises sous parasol installées au milieu de la place. 

Pour vous restaurer, une cabane vous propose des accras de morue, accompagnés de jus de bissap, jus d’ananas gingembre, jus de mangue ou jus de pomme. 

Pour la culture, des panneaux vous présentent les grandes heures historiques du parvis de l’hôtel de Ville ! 

Si vous souhaitez connaître la composition des arbres, sachez qu’il y a des féviers d’Amérique, des érables et des micocouliers Julian, arbres qui poussent habituellement hors de nos frontières et qui résistent bien au milieu urbain. Ils côtoieront des chênes chevelus de Bourgogne et des charmes communs d’essence régionale, d’Île-de-France ou indigène de France.

Vendre l’exotisme, épiciers de l’Ouest au XVIIIème siècle de David Audibert

Ce livre passionnant, écrit par David Audibert, docteur en histoire moderne à l’université du Mans aux presses universitaires de Rennes, est à découvrir. Ci-après sa présentation.

« Appartenant aux métiers de luxe ou de semi-luxe, la profession d’épicier connaît un développement remarquable au XVIIIe siècle, particulièrement dans les villes portuaires, à la faveur de la croissance des échanges avec l’Outre-mer et de l’essor de la consommation des produits exotiques dans une partie de la population française. À partir des exemples de trois villes de l’ouest de la France, de taille et de statut fort différents, l’étude de ces marchands est l’occasion de saisir le rôle majeur qu’ils ont joué dans la diffusion de produits nouveaux. Elle permet aussi de reconstituer les circuits commerciaux empruntés par les nombreuses marchandises qu’ils commercialisent, depuis leur lieu d’origine jusqu’en France, puis leur diffusion au sein même du royaume, levant partiellement le voile sur la question du commerce intérieur à cette époque. La place des épiciers dans la société du XVIIIe siècle ou l’analyse de leur niveau de fortune sont autant d’aspects qui confirment l’honorabilité de cette profession, qui appartient alors à l’aristocratie du monde marchand urbain. En outre, la différence d’échelle entre les trois cités s’illustre parfaitement à partir de l’observation de ce groupe social, révélant aussi l’existence d’une « culture de l’Ouest » assez spécifique. »

La Boulangerie du musée du Louvre Paris

En plus de ses peintures, sculptures, un pain estampillé de la Pyramide du Louvre Paris signée par l’architecte Ieoh Ping Pei est devenu l’achat incontournable d’une visite de l’un des plus beaux musées du monde ! 

Depuis le 5 juin 2025, le musée du Louvre à Paris a ouvert son propre fournil niché sous sa célèbre verrière, orchestré par les chefs boulangers Pascal Rigo et Arnaud Chevalier. Les pains sont produits à partir de levain ancien, de farine biologique sur une fermentation naturelle. 

Grâce aux baies vitrées, les visiteurs du musée peuvent assister au spectacle de la fabrication du pain produit, levé et cuit sur place. Ils pourront acheter le 700g signature, des ficelles poivre parmesan, ou oignons chorizo, des baguettes déclinées aussi en sandwichs, entre 7,50 et 9€. 

Comme toute boulangerie parisienne, il y a aussi d’excellentes viennoiseries (croissant signature, brioche dès 2,20€) et la pâtisserie bien française (croustillant feuilleté aux pommes, tartelette citron, éclair au chocolat estampillé Pyramide dès 3,50€). 

Les visiteurs du monde entier pourront découvrir et déguster les produits emblématiques de l’art de la boulangerie et pâtisserie française avec des créations exclusives inspirées des chefs d’œuvre du musée !