J’ai toujours rêvé d’aller un jour à Cuzco, admirer les
sublimes ruines du Machu Picchu, déguster la cuisine pré-inca et la cuisine du chef Gaston Acurio ! En attendant, le
village péruvien qui s’est installé au pied de la gare Montparnasse, place
Raoul Dautry, jusqu’au 17 novembre 2013, me donne une belle entrée en matière
pour imaginer mon séjour au Pérou !
Les produits de l’artisanat aux
couleurs éclatantes (poncho, bijoux, ceinture de cuir, châle et le fameux
bonnet péruvien) me donnent déjà des idées de cadeaux pour noël. Pendant que je
déguste una empanada de carne (chausson à la viande ), una ceviche (poisson cru
mariné au jus de citron vert) et une salade de quinua acheté au stand de
cuisine tenue par l’ambassadeur de la cuisine péruvienne à Paris, le restaurant traiteur El Picaflor,
j’admire les artistes qui dansent la marinera sur l’estrade.
Pour accompagner
mes agapes, je me suis mis aussi à l’inca cola, le coca des incas très
populaire qui a détrôné le coca cola. La boisson d’une couleur jaune soutenue,
est juste sucrée. En lisant l’étiquette, elle est à base de hierba luisa (une
espèce de verveine), d’eau, d’acide citrique, de sirop de maïs.
Sur les différents stands d’épicerie, j’ai acheté des pommes de terre et du maïs déshydratées de toutes les tailles et de toutes les couleurs, une pâte culinaire jaune à base de piments jaunes aji amarillo (celle même qu’affectionne le chef Gaston Acurio), un jus violet issu d’un maïs violet moreno enrichi de jus d’ananas, des graines de quinua (le blé des Andes) de toutes les couleurs de l’arc en ciel, une bouteille de de Pisco, un alcool à base de jus de raisin, avec une couleur translucide, brillant comme un diamant ! Sur les conseils de la chef d’El Picaflor, je cuisinerai tout simplement en soupe les maïs, pomme de terre et quinua déshydratés, une recette très pré-inca.
Dans les différents stands, je cherchais la viande d’alpaga, le cuy, le cochon d’inde si prisé des péruviens, mais en vain. Je reste sur ma faim en m’imaginant attablé à Lima, dans le restaurant du chef Gaston Acurio, en train de déguster son célèbre ceviche (connu jusqu’à New York), son ragout de cuy à l’aji amarillo ! C’est grâce au Pérou que nous avons ce jour dans notre cuisine, ramené par les espagnols, la pomme de terre, la tomate, le piment, l’arachide… Sur ce village péruvien au pied de la gare Montparnasse, il y a encore pleins de produits alimentaire que je ne connais pas. Pour plus d’information, cliquez ici.
Sur les différents stands d’épicerie, j’ai acheté des pommes de terre et du maïs déshydratées de toutes les tailles et de toutes les couleurs, une pâte culinaire jaune à base de piments jaunes aji amarillo (celle même qu’affectionne le chef Gaston Acurio), un jus violet issu d’un maïs violet moreno enrichi de jus d’ananas, des graines de quinua (le blé des Andes) de toutes les couleurs de l’arc en ciel, une bouteille de de Pisco, un alcool à base de jus de raisin, avec une couleur translucide, brillant comme un diamant ! Sur les conseils de la chef d’El Picaflor, je cuisinerai tout simplement en soupe les maïs, pomme de terre et quinua déshydratés, une recette très pré-inca.
Dans les différents stands, je cherchais la viande d’alpaga, le cuy, le cochon d’inde si prisé des péruviens, mais en vain. Je reste sur ma faim en m’imaginant attablé à Lima, dans le restaurant du chef Gaston Acurio, en train de déguster son célèbre ceviche (connu jusqu’à New York), son ragout de cuy à l’aji amarillo ! C’est grâce au Pérou que nous avons ce jour dans notre cuisine, ramené par les espagnols, la pomme de terre, la tomate, le piment, l’arachide… Sur ce village péruvien au pied de la gare Montparnasse, il y a encore pleins de produits alimentaire que je ne connais pas. Pour plus d’information, cliquez ici.
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