La Corée est cette année l’invitée d’honneur du salon de
livre de Paris. Le stand est impressionnant de beauté. Les portraits des
auteurs sont suspendus en grand au-dessus du stand comme une invitation à les
découvrir.
Située en pleine cœur de l’Extrême-Orient, la Corée partage avec ses
voisins chinois et japonais des pans entiers de culture commune, comme le
bouddhisme, le confucianisme, ou le taoïsme. Mais ses racines chamaniques
encore présentes aujourd’hui en font une entité à part dans la littérature
coréenne.
Les croyances traditionnelles se mêlent à l’attrait des Coréens pour la technique et pour la modernité, savant mélange qui se retrouve dans les textes littéraires. Forte d’une longue tradition orale, la littérature coréenne commence par s’écrire en caractère chinois puis en caractère coréen dès le XVème siècle avec l’histoire d’Hong Gildong d’Ho Kyun considéré comme le premier roman coréen contemporain.
Les croyances traditionnelles se mêlent à l’attrait des Coréens pour la technique et pour la modernité, savant mélange qui se retrouve dans les textes littéraires. Forte d’une longue tradition orale, la littérature coréenne commence par s’écrire en caractère chinois puis en caractère coréen dès le XVème siècle avec l’histoire d’Hong Gildong d’Ho Kyun considéré comme le premier roman coréen contemporain.
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