Le Nasi Goreng, qui signifie « riz frit », a été
choisi par le chef
Degan Septoadji venu spécialement de Bali pour inaugurer les ateliers
culinaires au festival
couleurs d’Indonésie à Paris. C’est un privilège d’assister à sa master class
sur cette recette qui représente pour
lui l’un de plats familiaux qui personnifie le mieux l’Indonésie. Il met en avant le sens économique et
anti-gaspillage de la préparation. Le Nasi goreng est toujours cuisiné avec le
riz qui reste de la veille. C’est ensuite une recette simple et savoureuse.
Vu
la diversité religieuse, ethnique et les îles de l’archipel, il nous prévient
de suite qu’il y a autant de recettes de nasi goreng que de familles ! Mais
un point commun relie toutes les manières de faire : la pâte d’épice qui
donne toute les saveurs à la préparation. C’est cette pâte d’épic e qui donne
tout son âme à la cuisine indonésienne. Sa base est toujours de l’ail et de l’échalote
avec un agent liant gras végétal puis des ingrédients aromatiques. Pour
confectionner la pâte, le mixeur est à proscrire. Il faut écraser à la main tous
les ingrédients directement au mortier en pâte, puis frit à l’huile pour en
exalter tous les arômes.
Pour sa pâte de bumbu merah, il a réduit en pâte l’échalote, l’ail, le piment rouge, noix de macadamia, la tomate, la pâte de crevette, le sucre de coco. La préparation est ensuite frite à l’huile. Une fois tous les ingrédients prêts, la confection de du nasi goreng est très rapide. L’ail est revenu dans l’huile très chaude, avec des dés de poulet, de crevettes, d’oignon et de céleri branche jusqu’à cuisson. On y ajoute ensuite des œufs, de la sauce de soja, de la sauce d’huître et de la pâte de bumbu merah pour parfumer l’ensemble. On y verse ensuite du riz et on fait sauter l’ensemble pour que chaque parcelle d’ingrédient soit bien recouvert de sauce et d’épices. Une fois cuit et bien chaud, on rectifie l’assaisonnement en sel et poivre, et on le sert avec le l’échalote frite ! Même assis au cinquième rang, tous les parfums de la recette sont parvenus jusqu’à nous et nous ouvrent l’appétit. Nous sommes allés compléter notre portion de dégustation auprès des kiosques de cuisine installés dans le jardin.
Les restaurants et traiteurs indonésiens de Paris sont tous présents
pour nous proposer le meilleur de la cuisine indonésienne : brochettes de
poulet, d’agneau sauce satay, canard et poulet mariné aux épices et grillés, bœuf
rendang cuit au lait de coco et épices, kare ayam (poulet au curry indonésien),
mie goreng (nouilles sautées, tofu frit, gâteau de riz sucré, beignets divers….
Tout était tentant et délicieux.
Si vous hésitez entre les recettes, les restaurateurs vous aident à faire votre choix avec sourire et bonne humeur.
Une fois servis, nous pouvons déguster confortablement les plats bien assis sur des tables de jardin. En une bouchée, comme disent les indonésiens que j’ai rencontrés, vous avez le sentiment d’être au pays.
C’est cela tout l’esprit du festival couleurs d’Indonésie, vous donner un avant-goût du pays par une immersion des cinq sens à travers la gastronomie, la musique et les danses traditionnelles, des expositions sur l’art et la culture du pays.
J’ai même pu assister à l’élection de Miss Kebaya en présence de son excellence l’ambassadeur de l’Indonésie.
Si vous avez raté cette belle fête, il faut attendre l’année prochaine !
Pour sa pâte de bumbu merah, il a réduit en pâte l’échalote, l’ail, le piment rouge, noix de macadamia, la tomate, la pâte de crevette, le sucre de coco. La préparation est ensuite frite à l’huile. Une fois tous les ingrédients prêts, la confection de du nasi goreng est très rapide. L’ail est revenu dans l’huile très chaude, avec des dés de poulet, de crevettes, d’oignon et de céleri branche jusqu’à cuisson. On y ajoute ensuite des œufs, de la sauce de soja, de la sauce d’huître et de la pâte de bumbu merah pour parfumer l’ensemble. On y verse ensuite du riz et on fait sauter l’ensemble pour que chaque parcelle d’ingrédient soit bien recouvert de sauce et d’épices. Une fois cuit et bien chaud, on rectifie l’assaisonnement en sel et poivre, et on le sert avec le l’échalote frite ! Même assis au cinquième rang, tous les parfums de la recette sont parvenus jusqu’à nous et nous ouvrent l’appétit. Nous sommes allés compléter notre portion de dégustation auprès des kiosques de cuisine installés dans le jardin.
Si vous hésitez entre les recettes, les restaurateurs vous aident à faire votre choix avec sourire et bonne humeur.
Une fois servis, nous pouvons déguster confortablement les plats bien assis sur des tables de jardin. En une bouchée, comme disent les indonésiens que j’ai rencontrés, vous avez le sentiment d’être au pays.
C’est cela tout l’esprit du festival couleurs d’Indonésie, vous donner un avant-goût du pays par une immersion des cinq sens à travers la gastronomie, la musique et les danses traditionnelles, des expositions sur l’art et la culture du pays.
J’ai même pu assister à l’élection de Miss Kebaya en présence de son excellence l’ambassadeur de l’Indonésie.
Si vous avez raté cette belle fête, il faut attendre l’année prochaine !
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