Les rapports, conflictuels ou apaisés, entre l’homme
et l’animal sont aussi vieux que l’humanité. En témoignent les peintures
pariétales de la préhistoire, les mythes des religions de l’ancienne Égypte et
de la Grèce antique, la métempsychose de l’hindouisme, les écrits d’Ovide, les
fables d’Ésope et de La Fontaine, la figure du Minotaure chez Picasso… pour ne
citer que quelques exemples au fil des millénaires.
L’objectif de cette exposition n’est pas de faire un inventaire des relations entre l’homme et l’animal – ce qui nécessiterait des moyens et un espace infiniment plus grand que ceux de l’Espace d’art Chaillioux – mais, à travers les travaux de huit plasticiens, d’illustrer comment cette thématique reste très présente dans la création plastique contemporaine : métamorphoses, cruauté envers les animaux, ensauvagement de l’humain, répulsion et attraction de la fourrure, plongée psychanalytique, ambiguïtés, hybridations, cycle de la vie, totémisation… Il ne s’agit pas, ici, de traiter de la bestialité, mais de sonder la part d’animalité qui sommeille en chacun de nous.
L’objectif de cette exposition n’est pas de faire un inventaire des relations entre l’homme et l’animal – ce qui nécessiterait des moyens et un espace infiniment plus grand que ceux de l’Espace d’art Chaillioux – mais, à travers les travaux de huit plasticiens, d’illustrer comment cette thématique reste très présente dans la création plastique contemporaine : métamorphoses, cruauté envers les animaux, ensauvagement de l’humain, répulsion et attraction de la fourrure, plongée psychanalytique, ambiguïtés, hybridations, cycle de la vie, totémisation… Il ne s’agit pas, ici, de traiter de la bestialité, mais de sonder la part d’animalité qui sommeille en chacun de nous.
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