Les aveyronnais sont une communauté très soudée sur Paris.
Fuyant un département misérable et en surpopulation, beaucoup étaient montés
sur Paris dès 1850. Parce qu’ils étaient très besogneux, ils commencèrent à
vendre du charbon (d’où le terme de bougnat, issu du charbougnat), à porter de
l’eau aux étages pour le bain des bourgeois parisiens.
Dès les débuts, la
solidarité entre aveyronnais se mit en place, les économies cumulées à la sueur
du front étaient renvoyés aux villages.
A force de travail, ils passaient ensuite à la vente de la limonade, du vin, de la petite restauration jusqu’à devenir aujourd’hui les rois des cafés restaurants et bistrot à Paris, devenus plus parisiens que les parisiens.
Cet ascenseur social aveyronnais repose intégralement sur le sens de la communauté et de l’entraide. Les aveyronnais de Paris aiment faire la fête ensemble, se retrouver et partager les moments heureux comme les moments difficiles. Ils ont même créé un lieu de rassemblement sur Paris, l’oustal, qui propose en plus 89 logements attribués à de jeunes aveyronnais de 18 à 18 ans qui s’installent dans la capitale.
C’est autour de cet Oustal qu’ils nous convient tout le weekend à faire la fête avec eux avec les « Marché des pays de l’Aveyron », en découvrant non seulement leur terroir gourmand, mais aussi toute sa culture entre danses folklorique, jeu de quilles de 8, broderies, littérature…
La joie des jeunes générations d’aveyronnais qui s’approprient de ces belles traditions fait plaisir à voir et est très communicatif. Vous pourrez même prendre part aux chants et aux danses entre deux gorgés de rouge.
Plus d’une
centaine de producteurs et artisans sont venus de l’Aveyron, l’ancien pays du Rouergue
dans un triangle formé par les villes de Toulouse, Clermont Ferrand et
Montpellier.
Entre saucisses à la truffe des causses grillées et aligot, salaisons et charcuteries, fromages dont le célèbre roquefort, noix et châtaignes qui se retrouvent dans les huiles et pâtisseries, farçous, foie gras, fouaces, vins AOC, il vous faut faire un choix de dégustation entre les produits rustiques et les plus nobles.
Le plus difficile est de choisir. Vous avez encore ce dimanche pour y aller !
A force de travail, ils passaient ensuite à la vente de la limonade, du vin, de la petite restauration jusqu’à devenir aujourd’hui les rois des cafés restaurants et bistrot à Paris, devenus plus parisiens que les parisiens.
Cet ascenseur social aveyronnais repose intégralement sur le sens de la communauté et de l’entraide. Les aveyronnais de Paris aiment faire la fête ensemble, se retrouver et partager les moments heureux comme les moments difficiles. Ils ont même créé un lieu de rassemblement sur Paris, l’oustal, qui propose en plus 89 logements attribués à de jeunes aveyronnais de 18 à 18 ans qui s’installent dans la capitale.
C’est autour de cet Oustal qu’ils nous convient tout le weekend à faire la fête avec eux avec les « Marché des pays de l’Aveyron », en découvrant non seulement leur terroir gourmand, mais aussi toute sa culture entre danses folklorique, jeu de quilles de 8, broderies, littérature…
La joie des jeunes générations d’aveyronnais qui s’approprient de ces belles traditions fait plaisir à voir et est très communicatif. Vous pourrez même prendre part aux chants et aux danses entre deux gorgés de rouge.
Entre saucisses à la truffe des causses grillées et aligot, salaisons et charcuteries, fromages dont le célèbre roquefort, noix et châtaignes qui se retrouvent dans les huiles et pâtisseries, farçous, foie gras, fouaces, vins AOC, il vous faut faire un choix de dégustation entre les produits rustiques et les plus nobles.
Le plus difficile est de choisir. Vous avez encore ce dimanche pour y aller !
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